Le bref été de Lathorie arrivait déjà à son terme. Le froid ne tarderai pas à revenir de plein fouet pour recouvre ce fin paysage verdoyant d’une épaisse couche de neige fraîche et légère sans pour autant être fine. Il n’y avait plus beaucoup de temps. Ogami avait passé quasiment tout son été dans cette forêt. Son stock de plante médicinale n’aller pas ce remplir tout seul. Bien que son ouvrage soit déjà quasiment achever il s’acharner à la tache, ne voulant manquer de rien. C’était peur au fond de son cœur, qu’il n’est pas les affaires nécessaire pour soigner un de ses patients et qu’il meurt entre ses mains. Cela ne lui était encore jamais arriver. Faut bien dire que cela ne fessait qu’un an qu’il avait prit ses fonctions. Il n’était pas stupide, il savait bien que ce jour viendrai et que ce serai soit à cause de manque de produit médical, de connaissance ou tout simplement les dieux qui en avait décidé ainsi.

Le jeune harfang grappillait alors dans la forêt ce qu’il lui manquer après avoir passer une parti de la matinée au temple. Autant dire qu’il se sentait plus en sécurité à ce dernier qu’entre ces arbres. Très peu de démon était venu l’ennuyer. Mais la solitude et le souffle du vent entre les branchages des arbres de cette majestueuse taïga ne le rassurer en rien. Il était toujours à regarder autre de lui de ses yeux orangé, à l’affût, stressé.

Ogami considéra qu’il en avait assez fait pour la journée. Il réajusta sa hotte à moitié pleine valériane et de sauge. Cela serai utilisé comme calmant et contre l’asthme. Il accrocha aussi sa faucille à sa ceinture où était déjà attacher son fin poignard. Il était facilement repérable dans la forêt. Le jeune chaman était vertu d’une cape d’un noir gris passé, d’une toge bleutée avec un pantalon noir et dans botte en cuir qui lui montait aux genoux. Sans oublié des mitaines noires et ses long cheveux d’argent toujours bien tressé. À ce rythme ses cheveux aller traîner sur le sol.

Le jeune thériantrophe parvient au sentier lorsqu’il entendit le bruit d’une charrette. Ses yeux de dirigèrent vers l’origine du son et il y trouva un charrette de fumier. Magnifique… Autant la laisser passer pour se défaire de l’odeur exécrable puisqu’il était évident qu’ils avaient la même destination. Le conducteur de la charrette lui adressa un grand sourire jauni et rocambolesque alors qu’Ogami s’écarter pour le laisser passer et avoir un bonne marge avec le fumier.

- Et bien la bonjour madame !

- Je suis un homme.

Répondit il avec un visage de marbre. Pourtant se voix laisser soupçonnait son irritation. Apparemment il n’y avait pas que la dentition de cet homme qui était en mauvaise état. Charmant… Cela avait jeté un froid et le regard perçant du harfang n’aidé en rien. Le conducteur s’excusa et continua sa route. L’odora n’était pas le sens le plus aiguiser d’Ogami mais cela ne l’empêchait pas de trouver l’odeur particulièrement équerrant. Il avait soutenue son regarde, tournant même son corps pour le pas le perdre de vue, attendant pour commencer à marcher. Il m’y du temps avant de percevoir les sons d’une autre chevale. Non pas qu’il ne l’avait pas entendue mais qu’il ne s’en rendait compte que maintenant. Il se retourna en espérant que ce ne soit pas le collègue du précédant voyageur et se figea avec de grand yeux.

Un démon ! Non ! Un fantôme ? Pourtant il n’en avait jamais vue au par avant. L’homme sous ces yeux lui paresser si irréelle, si fantasmagorique. Ce visage pale, salie avec une telle expression… Un cavalier errant ? Il en avait peur, clairement peur. Oh oui, la peur se lissait sur le visage d’Ogami, il ne pouvait plus bouger d’un pouce.

Le cavalier fantomatique sortait d’un trop lent, et à son goût sinistre, des brumes, telle une apparition. Le visage qu’il apercevait était livide et crasseux, non soigner et cet air de triste nostalgie n’aider en rien à rendre ce tableau plus vivace. Pourtant il paraissait beaucoup trop tangible pour être une simple apparition. Ogami aurai tout échangé pour pouvoir se transformer en un instant et retourner en volant à Larthor. Il ne pouvait que restait là plantait comme un simple piquet de bois. Ses membres ne lui répondaient pas. Toute la force mentale dont il fessait usage ne se traduisait que par le frémissement de ses jambes. Autant parler d’efficacité nulle.

Le fantôme arriva enfin à sa hauteur et s’enquérit de son état de frayeur. Le jeune chaman n’était peut-être pas un expert en matière de spectre et d’ectoplasme mais les démons oui, surtout leur voix sans corps. L’harfang put clairement identifier que la voix qu’il venait d’entendre, aussi lugubre soit elle, prévenait bien d’un être vivant.

L’homme voulu le rassurer en lui disant qu’il n’était pas l’un de ces vils humains. Au rythme ou il en était il n’était plus sur si cela le réjouissait ou non. Qui sais, un humain aurai put être moins terrifiant que cet bête. Après Ogami n’avait jamais vue d’humain au par avant. Alors savoir ce qui était plus effrayant entre un humain et ce cavalier usé…

Pourtant ce Thériantrophe essayait de paraître amical, bien qu’une certaine tristesse ne puisse quitter son pauvre visage. Peut-être était-il blessé par sa réaction ? Pourtant il afficher cette pauvre mine bien avant que il se retrouve nez a nez. Ou plutôt bec a il ne savait pas trop quoi. Le jeune homme n’arrive pas à identifier l’animal totem de celui sous ses yeux.

Les paroles qui répondirent à son silence eurent l’effet d’une avalanche dans son esprit. Le prochain village était Larthor !! Qu’allait il se passer si une telle bête se retrouver au sein des mur gelé de la ville ?! Non pas qu’il douter en la compétence des gardes, mais si jamais quoique ce soit advienait il se sentirait coupable de l’avoir mener à la ville.

Dans le doute le chaman ne voyer qu’une solution : essayer de parler au cavalier fantomatique pour connaître ses intensions. C’était à son goût plutôt risqué mais il ne voulait pas prendre de risque en mettant en danger sa nouvelle tribu.

Ogami prit le bras de l’homme avec une bonne poigne bien virile. Il était peut être faible dans les bras et les jambes mais pas dans ses mains. Un trait qui lui venait de son animal totem. Et s’il y avait bien quelque choses qu’il détestait c’était paraître féminin. C’est vrai que pour les apparences c’était raté mais il arrivait à compenser dans sa démarche. Et puis une telle poigne l’empêcher de trembler.

- Je suis Ogami Zaltana, Chaman des lunes de la tribu d’Esmerin. Et vous cavalier ?

Sa voix était calme et neutre et son visage commencer à redevenir de marbre. S’il arriver à cacher la douleur à la longue, il pourrai en faire de même avec sa peur. Il monta derrière le cavalier seulement après qu’il se soit identifié. Pas vraiment habile ayant beaucoup plus de mal que quand il montait seul. Cela aurait était plus facile pour lui s’il avait accès à l’étrier. Heureusement qu’il le tenait bien. Il avait trop peur que le chevale n’apprécie que gère le poids en plus bien qu’il soit plutôt bien léger pour sa taille. Il se tenait droit et digne, ne voulant pas être trop coller à lui pour autant.