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 Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE

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MessageSujet: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyMer 22 Aoû - 23:49

Pré-Pré-scriptum : Puisque les règlements sont écris dans un topic verrouillé… Bah j’déclare ouvertement ici que c’est lu et approuvé! (j’vais me faire corriger pour celle là, je m’attends déjà à ça xD)
Pré-scriptum : J’aime autant les fautes que vous, mais je dois avouer qu’après révisions d’une fiche si grosse… j’ai quand même des limites! Donc je suis sur et certain que certaines vous sauterons peut-être aux yeux… Mais j’ai fait un effort pour la rendre le plus acceptable que possible (Pré-scriptum… ha… *Se trouve étrangement drôle*)



Présentez-vous

Prénom & Nom:
Nom de jeunesse : Liam Thanalan
Nom réel: Liam Kerstein
Nom utilisé: Liam de Langley
Sexe: Male
Âge: 26
Race: Humain
Groupe: Principautés humaines : Archenior
Rang: Conseiller du trône d’Archenior.
Métier: Tacticien (Je sais, c'est pas dans la liste, mais toutes guerres méritent leur tacticien. Si non-accepté: Assassin)


Description physique




Liam est un homme qui a étrangement bien vieilli pour son histoire plutôt lugubre. Sa chevelure courte et bien soignée d’un noir d’ébène ne cache rien de bien spécial sur le crâne de l’homme, si ce n’est que quelques cicatrices que tout enfant qui était habitué a courir partout c’est déjà faite en se cognant contre un coin de table. Siégeant du haut de ses cinq pieds et onze pouces, son visage souvent sérieux cache quand même un sourire bonasse qui n’est jamais bien loin. Pouvant tout aussi bien faire son intimidant, il ne le parait pas au naturel. L’homme est aux multiples facettes. Comme habillement, il revêt des habits nobles mais simples, souvent ornés d’un rouge habituel aux gens de la haute société lorsqu’il est en public, mais ne laisse jamais bien loin son armure et ses fourreaux qui forment la deuxième partie de son habillement. Son armure fut moulée à sa taille et travaillée par un forgeron dont nous parlerons plus loin dans la fiche du personnage. Ses deux armes sont en fait une épée longue et une dague, rien d’autre. L’épée longue n’est pas décorée, elle est balancée parfaitement, par contre, chose plutôt rare à l’époque. La dague, elle, est décorée d’un pommeau qui rappelle le derrière d’une araignée, armé d’un dard qui rappelle celui du frelon… la garde est faite d’un agencement des pattes de l’araignée, elle-même, la lame étant ensuite le prolongement des deux crocs de la créature maléfique. Chose bien spéciale, la dague contient un large tube à l’intérieur de la lame, tube qui peut contenir une certaine dose de poison et qui peut être injectée grâce à un coup de pommeau, le dard étant en fait réel. Le poison prend une bonne seconde à s’injecter totalement.
Question équipement, l’homme est armé jusqu’aux dents pour une raison qui sera expliquée plus bas. Une ceinture ornée de cinq dagues de lancé, une pochette pouvant contenir jusqu'à trois fioles de poison, toutes vides pour l’instant. Il possède aussi un grappin ainsi que quelques mètres de corde qu’il traine avec lui lorsque l’aventure l’attend… Qui lui sert tout aussi bien d’arme que de moyen de se déplacer.
Pour revenir à l’allure générale de l’homme, il possède un regard des plus noirs, ses yeux d’un brun très sombre. Lorsqu’il semble sérieux, l’homme peut faire peur, même très peur. Sa musculature développée, mais pas trop, l’aide à avoir une excellente prestance en public et à faire valoir son point dans une société ou bien trop souvent le plus fort l’emporte. Une étincelle d’intelligence peu commune peut se voir dans son regard, trahissant son corps de guerrier. Des cicatrices arborent certaines parties de son corps, l’une d’elle particulièrement grande traversant son torse en entier. Il rase toujours sa barbe afin de bien paraitre en public, faisant couper ses cheveux très courts régulièrement afin de ne pas avoir à s’en occuper trop. Lorsqu’on le questionne, on ne voit aucune émotion sur son visage, et rare sont ceux qui ont vu son visage arborant une émotion autre que la joie, mais il n’est pas sans émotions, loin de là, même que cette joie qu’il démontre ouvertement n’est bien trop souvent qu’artificielle… simplement qu’il prend sa position à cœur, ou du moins c’est ce qu’il laisse croire en apparence.



Description psychologique



Ce que les gens laissent paraitre d’eux, c’est souvent bien loin de la réalité, surtout en haute société. Et il ne fait pas exception à cette règle. Ce qu’il laisse paraitre n’est qu’un homme d’une sagesse peu commune et d’un calme toujours présent, chose qui n’est pas fausse de lui. Il laisse paraitre un humaniste qui aime le peuple et le bien de la nation plus que tout, quand pour de vrai, il n’est pas l’homme le plus sympathique que l’on puisse rencontrer. A vrai dire, même, il est l’homme qui à vécu une enfance difficile, son calme qu’on prend pour de la sagesse n’est souvent que froideur et rien d’autre, en situation de stress, lorsque quiconque paniquerait, lui, il reste de glace et même planifies encore plus vite qu’a l’habitude. Une certaine forme d’intelligence, certes, mais qui se développe dans des situations peu recommandables. C’est un homme manipulateur et calculateur comme un enfant qui avait toujours à se défendre, en toutes situations, et qui aurait développé des moyens beaucoup trop élaborés.
L’homme est devenu respectable bien qu’à son enfance il était un voleur et un fourbe… Par contre, lorsqu’il en à réellement besoin, il n’hésite pas à tuer de sang froid, la mort faisant tristement partie intégrante de sa vie. Il ne porte que trop peu de valeur à la vie humaine autre que la sienne et celle d’une petite partie du monde et n’a aucun mal a marcher sur le bonheur des uns pour atteindre son but ultime. Il est devenu un des grands de ce monde pour son intelligence hors du commun, sa rapidité d’esprit, son audace et sa capacité de répondre en public. Ses manières sont sans failles et il se tient poli même devant le pire de ses ennemis. Il n’hésite jamais en public et possède un mental de fer. Par contre, ses buts témoignent de son désir de vengeance qui le ronge jusqu'à la moelle, par contre, il commence à prendre conscience des conséquences de ses actes… Et sa déchirure entre deux partis le rends de plus en plus vulnérable… Le mur de pierre possède une large faiblesse.


Histoire




Chapitre 1 : Une aube froide et sans espoirs.

« La grande différence entre un homme ou un autre vient bien souvent d’un lieu de naissance, d’une famille ou d’une autre… Pour moi, on m’avait arraché de ce droit à la bonne vie que je méritais à un âge où je ne pouvais même lutter. J’ai encore, à ce jour, la ferme intention de détruire ce tort et de regagner la position qui est mienne. On m’a dit que j’étais né lors de l’hiver de 661, seule chose qui n’était pas fausse de ma vie… L’histoire semblait débuter dans une ferme d’un petit village de la principauté de Berill, ouais, vous savez… celle ou l’assassinat y est presque coutume? Ouais, celle là. J’suis donc né, ou du moins je pensais l’être, dans cette sale principauté… mes deux parents étaient une truie qui battait ses enfants lorsque personne ne regardait afin de sentir qu’elle avait un contrôle sur quelque chose, et un porc qui buvait en cultivant les champs… ouais, des gens parfaitement agréable. J’ai un frère aussi, ou du moins j’avais un frère… Lui, pour une raison que j’ignore encore, il semblait mieux s’entendre avec eux, peut-être parce que dans le temps, il commençait déjà à avoir des muscles et peut-être bien faire peur à ce connard qui a tenté de m’élever… Oh et si vous croyez que les insultes que je lui balance sont gratuites, ne vous inquiétez pas, il les mérites totalement. Le souvenir le plus jeune que j’ai de ma vie de merde c’est me prendre une mornifle par les enfants au coin puisque j’étais le plus jeune… revenir chez moi… et m’en prendre une autre de la part de ma mère qui me disait que j’étais sa grande honte. Je pouvais y faire grand-chose moi? Pas vraiment. Je rêvais, jour et nuit, d’avoir un futur plus lumineux… Au moins, j’avais un frère pour me sortir de là de temps à autres.

Lui, il en à pris des coups pour moi, il était toujours le premier à me défendre, mais aussi le premier à me faire la morale… c’étais presque comme si c’était lui qui m’avait inculqué le minimum de bonté que j’ai encore à ce jour… Il a au moins fait ça, ce sale connard… Je me souviens encore d’une fois ou j’avais mis le feu à un enclos du voisin puisqu’il m’avait battu à coups d’bâton, simplement parce que j’avais pris des œufs… J’étais particulièrement rancunier à cette époque… après tout, c’était ce qu’on m’avait appris. Le vieillard était revenu chez nous afin d’m’égorger, mais il n’avait aucune preuve, mes parents l’ont presque laissés faire mais mon frère c’est lancé sur lui et c’est mis à l’insulter et à le démolir en le traitant de moins que rien qui s’en prenait aux enfants pour satisfaire sa vengeance… Il avait environ douze ans à ce moment là, et déjà, il me protégeait plus que les deux imbéciles qui me servaient de parents, réellement pathétiques ces deux là. On était pratiquement des esclaves pour eux, on servait à faire la nourriture, chasser la bête dans l’bois… quoi que j’ai fait ça beaucoup moins longtemps que mon frère… On était même mandaté pour aller voler des provisions aux voisins… et quand il y avait des voyageurs qui s’arrêtaient à la maison, fallait toujours qu’on aille à nos chambres… étrangement, on s’en tirait toujours avec de nouvelles provisions, du genre des pâtés à la viande et d’autres trucs qu’on mange presque jamais sur une ferme sur les terres de Berill… Maintenant que j’y repense, avec un œil plus distant… Ils me dégoutent encore plus ces deux là.

On cherchait toujours à s’éloigner de notre présent et voir un futur plus beau, mais on n’en voyait jamais le bout… moi j’avais un rêve… un très grand rêve… le rêve de trouver une arme qui me permettrait de terrasser le démon qui s’tenais dans la cuisine, oui, je parle bel et bien de ma mère. J’étais connu toute ma jeunesse pour faire des coups pendables aux autres, c’est un peu normal puisque je cherchais à me sauver… mais il y avait toujours une raison derrière mes coups, un vol ou quoi que ce soit qui me rapporterais un objet dont j’avais réellement besoin sur le moment… chaque coup était planifié méticuleusement afin de me profiter à moi d’une manière ou d’une autre. Un plan si élaboré que personne n’aurait pu croire que je sois capable de même l’avoir imaginé… Mais un jour, mon plan initial mourut d’un seul coup, devenant alors autre chose, quelque chose de plus grandiose, de plus fort… J’avais trouvé la proie qui me permettrait de m’en aller d’ici, j’avais trouvé ce qu’il me fallait plus que tout au monde… Je n’avais qu’une dizaine d’années, mais la souffrance fait vieillir bien jeune… Et je savais que si je réussissais mon coup, que je pourrais simplement m’en aller et devenir quelque chose d’autre, m’inventer une vie, un nom, avoir une place dans le monde autre que dans la cuisine ou la ferme…

Fini les corvées de lavage qui ne finissaient que par un reproche amer et des coups de poing… Fini la maintenance d’une ferme qui ne profitait à personne d’important pour moi… Fini la suprémacie d’une bande d’adultes dégénérés, de saoulons et de tueurs…


Chapitre 2 : L’ombre d’une nouvelle lune.

J’avais la pleine intention de traquer ma proie… Alors que je me perdais dans les bois, habitude que j’avais prise rapidement à l’âge de dix ans (Faut bien trouver moyen de s’évader de sa réalité, non?), j’avais aperçu quelques phénomènes étranges à plusieurs reprises… Et je savais maintenant ce que c’était. J’avais, pour la seule fois de ma vie, posé l’œil sur un magicien qui pratiquait ses sorts. Après tout, la clairière était large et lui, concentrait ses énergies afin de tenter bien des choses, toutes plus spéciales les unes que les autres… je l’ai observé quelques jours avant de passer à l’action. Chaque fois qu’il faisait quelque chose, il était toujours en train de prendre des notes dans ce livre de taille immense. Bien que les résultats étaient souvent bien spéciaux et ne faisaient jamais le résultat que j’aurais espéré voir, je voyais en ses recherches une arme potentielle afin de changer le cours de ma vie. Je passai à l’acte sur le sénile vieillard plus tard dans la même semaine. Je m’étais armé d’un couteau de cuisine que j’avais volé à ma mère, après tout, elle ne me verrait jamais plus après cette aventure, de toute façon… C’était ce que je me disais.

J’ai suivi l’homme dans les bois, c’était un vieillard, il avait des rides qui n’étaient pas censées pour un humain, des cheveux d’un blanc anormal pour moi, après tout, ici, on mourait rarement en haut d’une trentaine d’années, et je n’avais jamais vu quelqu’un qui avait au-delà d’une trentaine d’années... Je l’ai suivi et je trouvais déjà que l’homme avait l’air terriblement faible, terriblement fatigué… la magie l’avait peut-être bien tant drainé après tout, c’est un art rare et puissant, ça pouvait faire du sens. Ou peut-être bien que l’homme lui-même n’était qu’un faiblard qui avait un intérêt pour cette chose qui était un si grand tabou? J’avais un intérêt grandissant, pas une crainte, pas un stress, mais bien un intérêt… alors qu’il s’avança vers une petite maison de bois, l’homme pénétra le logis sans plus d’artifices… Il n’avait pas pris aucune précautions, pas de loquet, pas de protections… rien… comme si l’homme s’attendait à ce que personne ne viennes ici, jamais. Il était si naïf, ce vieux mage… J’avais presque de la peine pour lui, mais il était un sacrifice nécessaire pour que je sorte de cette vie horrible. J’attendis alors que la nuit ne tombe totalement… j’attendis que toute lumière chez lui ne s’éteignes… et j’attendis que mes yeux s’acclimatent à la noirceur environnante. J’entrai alors silencieusement chez le vieillard, et j’allai rapidement vers sa chambre… et ce que je soupçonnais était réel…

Il dormait effectivement avec sa saloperie de grimoire. J’avançai alors vers son lit, tranquillement… et je tentai de prendre le grimoire doucement… ne faisant pas attention aux babioles et aux pierres étrange qu’il y avait, partout dans de la pièce… après tout, c’était la connaissance qui m’intéressait. Mais lorsque je vis les deux yeux du vieillard s’ouvrir je n’eu aucune hésitation à planter mon couteau à travers sa gorge… Il ne fit aucun bruit, même pas de gémissement, même pas de plainte… simplement un regard étonné, confus… curieux… Je venais de tuer un vieillard qui m’aurait probablement simplement montré ce dont j’avais besoin, d’un seul coup de couteau, je venais de terminer une vie de recherches et d’avancées en cet art troublé que soit celui de la magie… Je venais de détruire le monde de cet homme avec ma lame, pour le seul désire de détruire encore plus de vies. Alors que mon couteau était en lui, je réfléchissais à tous ce que je venais de faire, je réfléchissais à toutes les implications… c’était un mage, si je disais que je l’avais tué, je serais probablement même récompensé… mais il aurait pu me sortir de ce calvaire… et alors qu’il mourrait, et voyait sur moi cette émotion plus que confuse, il me rendit la tâche encore plus difficile en esquissant un sourire… alors qu’il rendait son dernier souffle…

Épris d’une panique sans aucun précédent, je me sauvai avec le livre de l’homme, m’en allant en courant… retrouvant rapidement le chemin de la maison… et allant dormir dans la grange. Je ne touchai même pas au grimoire pendant quelques jours, tant j’étais troublé par ce que je venais de faire… J’avais tué pour mon simple profit, et ça, à l’âge de dix ans… dix ans et j’étais déjà un assassin…

Et le pire là dedans, c’était que lorsque j’ouvris finalement le grimoire, je n’y comprenais absolument rien… mais en vivant avec les parents quelques jours de plus, la détermination me revenais… un jour je comprendrais… et ils verraient ma puissance… et trembleraient devant mon courroux!


Chapitre 3 : Flammes de rédemption

Le pire là dedans, c’est que je n’ai jamais pu exercer ma propre vengeance, mais j’en ai profité de ce dernier épisode pour lui en faire voir de toutes les couleurs… Pendant les mois qui suivirent mon raid sur le havre de ce mage, j’eu assez de temps pour décoder quelques unes des recherches, ou du moins des incantations du vieux. J’apprenais par moi-même a une vitesse que je qualifiais de respectable, et encore chanceux que l’homme était passé maitre dans l’art de l’annotation, sans quoi l’ouvrage aurait été indéchiffrable. C’était en partie à cause de ça que j’avais réussi à décrypter un peu de tout ce brouhaha… Je n’avais pas réussi à incanter quoi que ce soit encore, mais je sentais que ça venait. Après tout, ça ne devait pas être bien difficile si un vieillard était capable de le faire… oh combien j’avais tort… encore à ce jour la seule chose que j’ai réussi à faire c’est faire remuer la terre un tantinet… encore là, c’est peut-être simplement mon imagination.

Un grand évènement est arrivé dans ma vie ce jour là… un raid de bandits. Vous savez, quand une bande de bandits se décident qu’ils manquent de nourriture, de femmes et d’action? Et bien c’est exactement ce qui est arrivé… Ils sont arrivés, sans rien déclarer, simplement en semant chaos et confusion à travers la ville. Je me souviens encore d’avoir regardé à travers la fenêtre alors que la grange du voisin était déjà en feu, observant avec attention le saccage et le pillage. Un enfant normal se serait recroqueviller en pleurant devant ça, moi je souriais. Je savais exactement ce que j’allais faire de l’évènement, moi. Mon frère et mon porc de père s’avancèrent alors dehors afin de tenter de nous ouvrir une porte de sortie, allant atteler les chevaux, bien que piteux, à la petite caravane qui nous appartenait… Ils furent rapidement attaqués, mais pendant ce temps, moi j’achetais du temps, beaucoup trop de temps. Je m’arrangeais pour que mère ait à rester à l’intérieur le plus longtemps que possible… Moi, j’étais petit et rapide, j’étais capable de m’en sortir… elle, elle était grosse et lente, et me servirait de couverture lorsque je tenterais de m’échapper… le plan était parfait. Elle gueulait que je descende, que je finisse de me préparer, mais je m’arrangeais pour que tout ailles mal. Je me faisais quand même un baluchon qui contenait quelques vêtements, mon grimoire bien caché, et des provisions… trop peu pour la route, mais quand même. J’ai même brisé l’une fenêtre et commencé un feu, lançant une des lampes a l’huile par terre, feignant qu’un des bandits ait lancé l’offensive… Je feins aussi mon propre évanouissement à cause de la fumée, forçant la truie qui me servait à monter me chercher…

Elle monta, elle me prit pour me descendre, avec mes affaires même! Mais dehors, la scène devenait de moins en moins belle. Avant, nous avions une belle route pour se sauver. Maintenant, la route n’était plus et il nous faudrait les confronter, à coup sur. Elle sortit en me tenant alors que deux types vinrent tenter de la prendre pour otage… Elle me lâcha instantanément et prit la fuite par elle-même, me laissant encore une raison de plus de la haïr. Laisser son propre fils en arrière en espérant pouvoir se sauver seule… elle méritait le destin qui allait lui arriver. Moi, je restai au sol, regardant le chaos, j’étais allongé sur le côté, les yeux ouverts… afin de voir mon frère se faire assommer, ma mère se faire égorger, et mon père se faire empaler… Et des bandits arriver et foutre le feu à tout ce qui avait l’air d’une grange ou d’une maison… puis s’en aller avec un chariot remplis de réserves de genre trop diversifié et peu morale pour les énoncer. Mais la seule chose qui me détruit encore plus que je l’étais déjà était la manière comment mon frère c’était fait assommer… Il avait tenté de libérer un cheval… mais avant de pouvoir s’en aller avec celui-ci, un des brigands lui avait asséné un coup de masse sur la tempe…

Libérer un cheval… Il avait tenté de se sauver… se sauver… sans moi?! Mes yeux s’embrasèrent alors que je fus finalement laissé seul, pour mort, dans un village en train de bruler… Il avait voulu fuir sans même me prendre avec lui?! Moi, son jeune frère, jeune frère qu’il sermonnait toujours, dont il s’était occupé pendant toute sa vie?! L’hypocrite n’a même pas eu une vie assez longue pour que je puisse l’abattre de mes propres mains… et c’est mon seul regret par rapport à sa mort… Il allait m’abandonner pour mort comme les deux parents? Leur mort… à TOUS… était méritée… j’étais maintenant seul au monde… et j’étais maintenant bien mieux ainsi. Me levant finalement alors que j’étais seul, j’avançai afin d’aller devant mon frère, observant son corps qui gisait au sol. Un peu de sang coulait, mais le coup qui avait été porté avait du être fatal… il était mort. Mon pied alla directement à son ventre, frappant de toutes mes forces, et ensuite, une salve d’insultes salées sortit de ma bouche, alors que le mépris que j’avais pour les deux parents combinés n’atteignait maintenant qu’une seule cible. Je finis par me retourner vers la caravane, calmai un des deux chevaux, puis le détachai et le chevauchant. Je laissai l’autre animal à sa mort, seul dans cette ville déserte, attelé à quelque chose de bien trop lourd pour lui seul.

Je ne regardai même pas par-dessus mon épaule alors que je partis, moi, jeune de dix ans… ma famille venait de mourir, potentiellement par ma faute… et bon dieu que ça faisait du bien.


Chapitre 4 : Nouvelle ancienne vie.

La rage pompais dans mes veines depuis quelques jours, jours que je vécu sur les routes vers le sud, vers les pays plus chauds… Je n’avais aucune idée de ma destination, ni même si j’allais bien manger un jour, mais je savais qu’au sud il faisait plus chaud. Je savais aussi que toutes les routes mènent vers quelque part… Restait bien à savoir si cette route interminable allait se terminer un jour… mon cheval était une vaillante bête, au moins… il n’avait pas été nourri depuis cinq jours lorsqu’il tomba finalement de fatigue… moi non plus, par contre… Et alors que le cheval avait marché bien longtemps avant de perdre la vie, moi, je n’eus que quelques heures de plus que celui-ci avant de m’effondrer au sol, comme si de rien n’était… Ma vie se terminerait-elle ainsi? Un enfant seul, sur les routes, aidé de personne… C’était peut-être une fin digne d’un être qui n’avait pas de nom, qui n’avait pas d’honneur, rien… mais pour moi, ça ne faisait aucun sens que de laisser ma vie s’envoler ainsi. J’avais le sentiment fort que j’avais encore tant à accomplir. L’histoire ne pouvait pas se terminer ainsi…

Je me retrouvai alors dans un lit, dans une maison de pierre, un petit feu brûlant dans la cheminée non lointaine… J’avais la gorge sèche, et j’avais mal partout… comme si on venait de me réveiller après des mois de sommeil… J’étais encore en vie, mais en quelle condition? Mes muscles ne semblaient pas vouloir me répondre, et quand je tentais de les faire obéir, on me répondait avec une douleur atroce dans toutes les parties de mon corps. J’avais eu de la chance, j’avais frôlé la mort de bien trop près… Et non loin, je pouvais distinguer une ombre près du petit feu de foyer, assise dans une chaise berçante, fixant le feu. Je ne distinguai rien d’autre puisque mon esprit partit encore une fois dans les limbes.

J’eus des rêves étranges durant toute la durée de mon sommeil, des rêves qui me démontraient dans des habits nobles, en train de courtiser les jeunes demoiselles, ou dans un hall d’entrée ou je rencontrais un homme de forte stature que j’appelais père… ou un portrait de moi avait été peint et ou on l’affichait grand dans l’entrée… Je rêvais de richesse, de fortune, d’une vie totalement autre que celle que j’avais entrepris… d’un monde qui pour moi ne faisait encore aucun sens. Monde fantaisiste, clair, rafraichissant… et rempli d’une émotion qui m’était totalement incomprise, le bonheur. Cet état si léger qu’on semblait pouvoir s’envoler… mais encore à la fin du rêve, rêve devenait cauchemar, et lorsque je voyais les flammes commencer, le peuple arriver avec ses fourches, ceux-ci venant s’emparer des deux personnes que j’aimais le plus tendrement du monde et alors que l’établissement s’écroulais autour de moi… et je revoyais finalement le visage de deux parents qui m’ont élever… deux parents froids, cruels, manipulateurs… deux monstres sanguinaires qui venaient de mettre la main sur le gros lot… mes vêtements m’étaient arrachés, et on me donnait maintenant des loques… on m’enchainait à un mur, et on me gavait de coups, jusqu'à ce que j’en perdes la vie, et que je me réveilles finalement, en sursaut, me rappelant alors la douleur que j’éprouvais, mais bougeant finalement.

Mon hôte se lança vers moi alors que j’avais finalement bougé. Celui-ci me présenta un bol d’eau qu’il me força à boire, chose qui faisait terriblement mal à l’instant, mais dont je comprenais l’importance. Je ne chialais point, mais ça faisait une douleur incroyable, comme si ma gorge craquait en entier… le genre de chose qui vous arrive après avoir dormi la bouche ouverte pendant une nuit entier, simplement que là, c’était multiplié par milles, et plutôt que d’être agaçant, ça faisait mal… On ne me força pas a manger de solide soudainement, après tout, fallait quand même que je me réhabitue à avoir un corps fonctionnel. L’homme était vieux, portait des habits qui parlaient pour eux-mêmes, un ancien noble qui avait perdu de sa splendeur. Ce vieux devait avoir une cinquantaine d’années, chose rare pour un humain. Il avait l’âge d’être le père de mon père.

Il était pourtant pavé d’une certaine gentillesse, puisqu’après tout, c’est lui qui m’avais remis sur pied. Il était du genre à toujours me poser bien des questions, à me demander d’où je venais, ce qu’un jeune de mon âge faisait sur les rues, combien de temps j’avais voyagé ainsi… Mais a chaque question qu’il me posait, il semblait devenir de plus en plus spécifique, me demandant mon âge, mon nom, la location exacte de mon village, le nom de mes parents… et si j’avais bel et bien un frère qui était nommé Nicolaï… Alors que je n’avais même jamais parlé de mon frère. La réponse avait semblé perturper l’homme, et nous n’en avions plus reparlé pour un bon temps, il ne m’avait même plus posé de questions par la suite… La seule chose qu’il fit par la suite était une chose qu’on devrait faire pour tous les enfants de ce monde, les éduquer.

Je passai les cinq années a suivre en tant que son petit fils, il me donna une identité à utiliser en public. Je fus alors nommé Talos Firendi pendant ces cinq années, vivant sous la tutelle de ce grand père qui m’éduquais, m’apprenais à lire et écrire, qui m’apprenais les mathématiques, l’algèbre, la philosophie de l’époque, les bonnes manières, la biologie même! L’homme aurait pu être un médecin lors de sa vie, mais il n’en faisait rien de plus que de vivre sa vie loin du peuple. Il avait quelques amis bien intéressants qui venaient le voir de temps à autres et il ne se gênait point de me présenter en tant que son petit fils, je fis même des amis chez certains marchands qui venaient de Meniev, des gens qui étaient bien à l’argent, mais qui admiraient la spontanéité et l’intelligence, deux qualités que j’ignorais même avoir. On ne parlait jamais de mes parents, on ne parlait jamais de ma vie antérieure, on ne voyait que le présent devant nous.

La grande majorité des amis de l’homme voyaient en moi un jeune brillant avec un avenir glorieux devant lui, chose qu’on n’aurait jamais même daigné me dire lorsque j’étais plus jeune. J’avais été élevé par des gens qui ne savaient ni lire, ni écrire, qui ne savaient presque pas comment travailler sur une ferme et qui ne connaissaient rien aux enfants. Alors que je devenais plus grand, et que je prenais de la maturité, une question restait pesante sur moi. Le visage de mes parents, leur forme… tout m’était resté gravé dans le crâne, mais lorsque je me regardais dans le miroir, je ne voyais rien de ces deux niais personnages sur moi… Comme si je n’avais même aucun lien de parenté avec eux. Et en plus, je n’aurais jamais pu faire cette remarque si j’aurais grandi là bas… Nous n’avions pas de miroir. Étais-ce possible que je n’avais même aucun réel lien de parenté avec ceux-ci? Étais-ce possible que mes parents réels ne soient pas ces gens? L’idée me traversait l’esprit comme un fantasme de jeunesse, mais je voyais encore cette chose comme impossible…

Jusqu'à ce que mon grand père ne m’annonce, à mes 15 ans, qu’il avait pris une grande résolution… celle de m’instruire dans l’art de la guerre. Mais pour cela, il devrait m’envoyer ailleurs, chez un ami qui serait bien plus en mesure de m’instruire de cet aspect. L’homme était un ex capitaine de l’armée du Meniev, il c’était retiré jeune puisqu’il voulait profiter un peu de sa vie avant de trépasser… Mais il c’était rendu récemment compte qu’il n’avait jamais eu de décendence, et que toute sa connaissance ne serait que vaine s’il ne la donnait à quelqu’un… c’est ainsi que mon grand père décida de m’envoyer, puisque j’étais selon lui maintenant son égal et que je ne pouvais plus rien apprendre de lui. Mis-a-part une chose.

Je n’avais jamais vu l’homme me demander de s’asseoir à sa table, face à lui, auparavant… avant j’avais toujours mangé de biais à lui, ou quoi que ce soit, j’étais toujours à sa droite, puisqu’on montre à un élève de cette direction. J’étais pour la première fois face à lui, et il me déclara qu’il avait besoin de me parler du pourquoi il m’avait recueilli, en premier lieu. Il avait connu un homme, auparavant, qui s’appelait Dalles Kerstein, un homme plus que respectable, de bonne naissance, de sang noble, à l’intelligence particulière et aux prouesses au combat plus qu’épatantes. Il avait pris pour femme une jeune dame d’environ cinq ans plus jeune que lui, la femme elle-même n’avait aucun sang noble, mais ils avaient tous deux le même secret sombre. Mélina Tindertwig, était son nom… les deux étaient utilisateurs de magie… les deux étaient mages, chose qui était plus que tabou dans notre société… Et si c’était remarqué, ils étaient même passibles de mort. Des nobles qui faisaient utilisation de se sombre art? Ils eurent un premier fils qu’ils nommèrent alors Nicolaï Kerstein, et alors que celui-ci atteignit ses six ans, quelques mois plus tard, ils en eurent un deuxième… Liam Kerstein…

Suite à cette déclaration, nous restèrent tous deux muets pendant un long moment. J’étais confus, et je ne savais que faire de cette nouvelle information… Thanalan était mon nom, et non Kerstein. L’homme continua son récit en me disant que l’histoire avait beaucoup trop de similarités pour qu’il m’ignore. Il m’avait recueilli puisque j’avais l’air piteux et près de la mort, mais alors qu’il me guérissait et que j’étais resté inconscient pour quelques semaines, je lui rappelais de plus en plus ma mère… ma réelle mère… Suite a l’interrogatoire qu’il m’avait fait faire, il décida de me tester, et de voir si j’avais l’intelligence de la famille, si j’étais capable de m’adapter aussi bien que mon père… Et c’était ce que je ne cessais de lui prouver depuis cinq ans. Je m’exclamai afin de lui demander pourquoi mes parents m’avaient abandonnés, et il ne fit que me répondre qu’ils ne m’avaient pas abandonnés, mais bien qu’ils avaient été tués par une révolte populaire lorsqu’ils c’étaient rendu compte du don de mes parents… et qu’il c’était occupé personnellement à ce qu’on soit envoyés le plus loin possible afin qu’on ne nous retrouve plus jamais. Pourquoi m’avait-il envoyé dans un endroit si horrible en pleine connaissance de cause? Puisqu’il était sur et certain que ces imbéciles ne sauraient jamais notre réelle identité… La seule chose qui restait était notre prénom. Liam et Nicolaï…

J’eus des bouffées de chaleur, des frissons dans le dos… et encore plus lorsqu’il se retira de la table et alla vers un coffre qu’il m’avait fait promettre de ne jamais ouvrir lorsque j’étais arrivé… Il l’ouvrit et en prit alors une armure, et une cape… dans lesquelles étaient brodés les écussons oubliés de la famille Kerstein… Une lune traversée par une lance… Il les mit sur la table et me dit les mots qui retournent encore mon âme à ce jours : « Souviens toi, et ne laisse pas mourir ta dynastie. »

Une nuit s’écoula, une seule. J’étais incapable de dormir, et la cape qui ne me faisait pas me servait quand même de couverture cette nuit là. Je fixais les étoiles et le ciel en recherche de réponse… mais tout était si… si vrai. Même l’odeur semblait me rappeler quelque chose. J’avais à peu près un an quand tout c’était déroulé, il était donc possible qu’au plus profond de moi j’aies encore un léger souvenir enfouis… Mon corps tremblait à l’idée que ma vie n’avait été qu’un sombre mensonge… Mais la seule chose qui revenait en moi était un désir de vengeance… J’avais été séparé de ma vie, de ma réelle famille, j’avais été plongée en enfer directement pour la seule et unique raison que mes parents étaient détenteurs d’un don… Un don qui faisait peur aux gens, et donc, on avait jugé bon de tuer toute la famille… et de n’épargner personne. J’avais la ferme envie de me venger, mais sur qui? Sur quoi?...


Chapitre 5 : Conspirateurs.

Cette même nuit, alors que ma cape était sur moi et que je prenais l’air frais dehors, incapable de dormir, je reçus une visite bien plus effrayante que tout ce que j’avais vu… Une figure d’une teinte plus noire que l’ébène, plus profonde que la nuit… Un fantôme? Non, quelque chose de bien pire… un nocturne… La chose me fixa alors un instant, simplement, je la remarquai instantanément et c’est probablement la raison pourquoi elle ne me tua point sur le champs, elle attendait un mouvement de ma part, restant immobile. J’avais le cœur qui battait la chamade, je n’étais pas loin de la maison, mais j’étais quand même dans les bois, en pleine noirceur. La chose pouvait faire de moi ce dont elle voulait, et encore… elle ne faisait que me fixer. Cette ombre avança un pas, je crispai le poing, puis elle avança un autre, mes jambes se rétractèrent, prêtes à bondir… Puis elle parla… d’une voix aussi douce que le murmure du vent, me disant que devant moi se dessinait une grande destinée… et que mon histoire ne faisait que commencer. Elle continua en me disant que je n’étais toujours pas près pour son offre, mais qu’elle reviendrait… D’ici là, je n’avais qu’à rêver à ma vengeance… Je bondis alors et m’élançai vers la chose, qui me laissa agripper sa gorge et l’accoter sur un arbre.

Ma demande fut simple, ce qu’elle savait de mon désir de vengeance… Et elle me répondit la totalité de mes pensées, dès là… Je lui demandai ce qu’elle avait pour plans, je n’aimais plus du tout les surprises depuis longtemps… Et la seule chose qu’elle me dit c’était qu’on se reverrait bientôt… puis je sentis une pression sur mon ventre… et puis plus rien. Je m’endormis comme forcé à le faire… pour me réveiller le lendemain matin dans mon lit, encore une fois…

La nuit d’avant n’avait alarmé personne, et monsieur Sydonai Lynnorn, ancien militaire à la stature encore bien forte, vint me chercher le cette journée, en plein après midi. Je fis mes adieux à mon mentor, qui se nommait d’ailleurs Alistair Eralas, et partit ensuite pour cette nouvelle vie, une fois de plus. J’étais franchement excité par cette vie pour deux raisons, premièrement j’allais apprendre à me défendre, chose qui semblerait m’être utile dans un futur proche, et deuxièmement… Cet art était le premier pas vers ma vengeance… L’homme était d’environ une quarantaine d’années, il portait presque toujours son plastron métallique, décoré de médailles et d’autres fioritures, et sa cape d’un rouge qui faisait très noble, trop noble même. C’était un type qui était fier, beaucoup trop fier même, il parlait toujours de son grand succès en bataille, de ses victoires incessantes contre quiconque aurait bien pu vouloir attaquer, et de ses guerres qui ne m’intéressaient pas. Je feignait m’y intéresser et le mettre de mon côté, et chose bien heureuse, l’homme n’était intellectuellement pas de ma taille… alors il me croyait dur comme fer.

Sydonai était un de ces militaires décorés qui se croyait meilleur que tous, mais qui ne faisait que parler, il ne montrait rien. J’avais en plus de l’entrainement martial qu’il me payait, un entrainement militaire qui me fit voir les deux côtés de la médaille, je vis la discipline militaire, la force du groupe lui-même, et quelques enseignements du cru de l’homme qui visaient à être bien trop personnels pour rien. Il me racontait ses tactiques en anecdotes, mais la seule chose que j’avais retenue était que la logique prévalait sur tout… Certains des évènements qu’il me racontait commençaient à paraîtres de plus en plus insensés. Je maintenais une correspondance avec mon ancien mentor, qui était le seul à entendre parler de comment l’homme était un imbécile selon moi, et comment selon moi j’aurais pu faire survivre quelques milliers d’hommes de plus que lui…

La nuit, quelques soirs par semaine, une ombre venait me re-rencontrer dans ce nouveau chez moi, la même ombre que la dernière nuit que je passai chez mon mentor. Celle-ci prit mon entrainement martial à un niveau plus haut… et me donnait des leçons personnelles. Pas des leçons qui visaient à ce que je sache tenir une lame comme n’importe qui, mais bien des leçons qui poussaient mes connaissances en biologie et en anatomie à un niveau bien trop grand… ainsi que de m’apprendre à déjouer mon adversaire en lui faisant les cents coups. Cette chose qui ne m’avait jamais montré son visage et qui venait toujours armuré de cuir m’apprenais à me battre afin de ne jamais perdre, de la manière des plus déshonorable, mais de la manière la plus efficace au monde. La manière qu’un tueur emploi pour assassiner sa cible. J’avais de plus en plus de connaissances, et j’avais maintenant dans la vingtaine… J’arborais maintenant le nom de Liam De Langley, noble émergeant d’une lignée morte à la guerre, j’utilisais le nom d’un ancien soldat qui avait servi sous Lynnorn… Et qui aurait probablement mieux fait de servir au dessus de lui, comme tout le monde après tout. Je méprisais de plus en plus l’homme…

Lorsque j’en ai finalement eu assez, j’écrivis une dernière lettre à mon mentor, lui décrivant que j’étais finalement prêt à réaliser ma destinée… et je décidai d’affronter ce bâtard devant moi et de le ridiculiser devant toute sa courre… Il ne méritait rien d’autre. Et je le vainquis avec des trucs de base et rien d’autre. Il portait sa belle arme et sa belle armure… alors que moi j’avais décidé de me battre avec une dague… et rien sur le dos. Suite au duel, l’homme me jeta hors de chez lui, me traita d’ingrat et de tous les noms possibles. J’avais pourtant vaincu l’homme, et tous savaient pertinemment que j’avais vaincu un général réputé… Et ce que j’ai eu en retour était un respect incroyable de la part de certaines personnes qui étaient près de lui. Certains qui étaient bien plus intéressants, intelligents et courtois que ce rustre qui finirait probablement ses jours dans un baril de bière.

Particulièrement un homme, un forgeron qui avait travaillé pour Lynnorn pendant un bon temps. Le forgeron me fit une offre que je ne pouvais pas refuser. Si je l’aidais un temps avec ses corvées plus mentales, soit les finances de son commerce ainsi que les ventes, qu’il ferait en sorte que l’armure de mon père m’aille comme un gant. L’homme travailla une bonne semaine sur l’armure alors que je m’occupais de la paperasse de celui-ci, il prit mes mesures exactement, et fit quelques arrangements sur l’armure, qui avait quand même fait son temps. Lorsqu’il eut fini, j’avais non seulement une armure, mais aussi une épée longue, balancée parfaitement. Elle était simple, sans marques distinctives ni rien d’autre… mais elle était parfaite pour moi. Je n’avais jamais tenu de lame aussi bien affutée et aussi bien balancée de toute ma vie. L’homme ne fit que me la donner, ainsi que son fourreau, et me demanda de bien m’occuper de sa dernière œuvre. Je partis ensuite en lui promettant de faire bien attention à la lame… promesse que je tenais à remplir non pour l’homme, mais bien pour moi-même. Je portais finalement le blason de la famille Kerstein… mais il n’était toujours pas temps de réveiller ce nom qui dormait depuis vingt-et-un ans… Je partis de cette ville de la principauté de Meniev à l’âge de 22 ans, portant l’armure de mon père, une lame bien a moi… et un grimoire qui faisait a nouveau la une de mes priorités…

Et c’est par les ombres que je disparus…


Chapitre 6 : A Game of Thrones? (Wink)

J’avais bien vieillit depuis mon arrivée en Meniev. Mais encore une fois je ne partais pas en homme fier, mais bien en homme qui suivait l’incarnation de la mort… J’avais l’honneur de rencontrer quelqu’un qui se disait être la main du destin… Un ou une nocturne, puisque je n’ai jamais même pu voir son visage et que son armure cachait bien trop de son corps afin de distinguer les formes, qui voyait en moi une grande opportunité… Ma lignée déchue et mon désire de vengeance était pour cette chose d’une grande importance, puisqu’il pouvait m’offrir la force d’assouvir cette vengeance en échange d’informations. La seule chose que j’avais à faire c’étais de m’assurer une place dans une nation qu’il définit comme « Le berceau de la rébellion » dans son plan plus que sombre… J’avais à m’assurer une place devant le peuple, et devenir l’un des conseillers du seigneur de la nation… Chose bien triste, je savais que si je lui disais non à cet instant même, ma tête tombait… J’avais besoin de garder l’air intéressé, et d’accepter son plan. Du moins, j’avais besoin de le faire si je tenais ne serais-ce qu’un minimum à la vie. Mon âme avait été troquée contre un entrainement martial donné par un nocturne, et contre mon désir de vengeance. Certes, je crois encore fermement à ce jour que je devrais remettre se tort, que je devrais prendre mon courage à deux mains et m’afficher en tant que seul héritier à la famille Kerstein et avoir vengeance sur ceux qui ont poussé au meurtre de mes parents… mais ce plan…

Les Nocturnes sont maléfiques, ils ne voient que vengeance devant eux, ils ne voient que cette force destructrice. Ils se nourrissent de désespoir et de peine, ils aiment voir la souffrance de l’homme, ils cherchent à l’asservir. Ce plan était d’une ampleur qui me faisait trembler à même y penser. Je n’ai quand même plus de choix, je dois m’en tenir à leur plan sinon tous ceux que je connais, tous ceux qui m’ont été un jour cher… mourront. Et moi de même, par la suite, si je refuse encore d’écouter. Je dois démontrer une loyauté impeccable envers ceux-ci, même si le côté tranchant de ma lame est la seule chose que j’aimerais leur montrer. Qu’est-ce qui est encore plus terrifiant qu’un assassin? Un assassin nocturne…

Ce mystérieux personnage qui savait tout de ma vie et dont je ne savais rien était quand même mon compagnon de voyage pendant toute la durée, et me présenta a quelques infiltrés lorsque nous sommes arrivés en Archenior. Lorsqu’on arriva, même, cette ombre me donna une arme qui devrait me servir un jour ou l’autre, me disait-il… une dague à l’effigie d’une araignée. Depuis ce temps, je ne revois ce mystérieux personnage que peu de fois, une à deux fois par années. J’étais sous la tutelle d’un infiltré qui tentait de trouver tous les moyens du monde pour que je haïsse le roi présent, sieur… voyons, j’ai un blanc de mémoire... Et ce n’est pas bon pour demain ça… Bref, il est dénommé le roi sage. J’avais peine à croire les arguments qu’on me gavait, et j’étais encore insulté du fait qu’on tente de me faire haïr ce personnage. Des rumeurs le croyaient un utilisateur de magie depuis l’enfance? Dieu merci, cet imbécile ne savait pas que j’avais un grimoire sur moi… je feignais quand même cette haine qu’il tentait de m’inculquer, après tout, faut bien s’entendre avec les gens qui sons supposés être nos alliés… Je mets l’emphase sur le mot « Supposés », soit dit en passant… Au moins ce type m’a armé de dagues de lancé et autres artifices plutôt douteux… à croire qu’il pensait que j’allais assassiner le roi, ridicule.

L’homme était respectable dans ses actions, son régime était fiable et il semblait être l’un des souverains les plus humain qui soit… vous savez, le genre qui à des émotions et qui est capable de guider une contrée vers quelque chose de mieux? Il y a des raisons pourquoi Archenior est une contrée prospère, vous savez… Le plus j’en entendais sur lui, le plus j’avais simplement envie de grimper jusqu’au point ou je prendrais la position de conseiller. Mon étrange compagnon n’attendait que ça, mais moi je voulais y être pour réellement prendre part à ce monde… Redonner une valeur à mon nom… Et effacer l’horreur qui avait détruite ma famille. Certes, la magie était encore quelque chose qui m’attirait, et je pratiquais encore en mes temps libres, mais elle n’était plus un but. J’avais bien d’autres chats à fouetter après tout. J’étais déchiré entre mon avenir, et le destin qu’un peuple bien trop sombre pour moi planifiait…

Je commençai alors mes apparitions en public… après tout, je cherchais à me faire connaitre, à émettre des opinions bien simples et clairs. Je cherchais à être une des personnalités du public, à devenir une des puissances populaires et me faire remarquer ainsi. Cela ne prit pas plus de quelques mois avant que l’on me connaisse sous le nom de Liam De Langley… J’avais même pris plaisir à me livrer à quelques joutes philosophiques et politiques en places publiques avec des nobles quelconques, que je ridiculisais avec des opinions simplement concrets, crédibles et fiables. Mais encore, dès qu’on cherchait à m’attaquer sur un sujet ou on ne me croyait instruit, je rétorquais sur le même sujet et souvent même je me faisais plus convainquant que mon assaillant lui-même. Même lorsque l’on détruisait mes arguments par quelque chose de logique, je me retirais humblement de la joute en félicitant mon adversaire et en lui disant que ça méritait réflexion…

Les positions de conseillers n’étaient pas bien loin, la royauté devait bien avoir entendu parler de ce sage et érudit aventurier, né en Berill, élevé en Meniev, qui venait ici pour vivre une bonne vie et s’impliquer… C’était la réputation que je maintenais, et c’était la chose qui m’obsédait. J’avais beau me dire que je devais me modérer, j’étais quand même sur que je pourrais remplir le poste devant moi avec brio… Et c’est à l’âge de 24 ans, deux ans après mon arrivée en Archenior, en 685, que j’obtins finalement mon audience avec le roi… Audience que je tenterai de garder le plus civile que possible, et le plus amical que possible… Après tout, le plus de rumeurs que j’entends à propos du roi… le plus je nous sens similaires… J’aurais à le trahir, tôt ou tard, et je dédaigne le jour ou je devrai m’introduire encore à mon sombre correspondant… Mais pour l’instant, je sais que je peux apporter à son royaume une voix… et un conseil bien hors du commun. Après tout, je suis Liam Kerstein, seul héritier de la lignée Kerstein, de Meniev. Tacticien et Guerrier, Érudit et Sage, élève d’Alistair Eralas et de Sydonai Lynnorn…

Puisse les dieux tous nous protéger de la gaffe que je vais bientôt commettre…


Chapitre 7 : Conclusions

La vie nous réserve souvent bien des surprises… et maintenant que j’ai terminé d’écrire la totalité de ma vie dans les dernières pages de ce grimoire ancien, j’espère fermement que vous comprendrez que tout pouvoir à un prix… Mais lorsqu’on à rien à perdre… pourquoi ne pas se lancer? Demain sera la journée décisive… J’irai me présenter directement devant ce roi qui semble afin de me présenter pour le poste ancestral de conseiller… Je ne suis probablement pour lui qu’une rumeur et rien d’autre, mais encore là, je n’ai rien à perdre… et tout à tenter. Après tout, si je manque mon coup, je mourrai probablement dans les prochains jours, par la lame de ce Nocturne. Si je réussis… Et bien j’espère pouvoir rapporter une certaine gloire à mon nom, et changer le regard que le monde possède sur la magie pour toujours. Cet art si étrange, mais qui mériterais tant d’attention.

Sur ce, je clos ce journal pour toujours, puisque finalement, ma vie prends un envol… Si quiconque tombe sur ce grimoire un jour, et lis cette histoire… Et bien j’espère que ce fut bonne lecture, mais ne vous inspirez pas de moi… vous n’en seriez probablement pas capable, de toute façon. »

Et sur ce, clos le livre… daté du 7 juillet de l’an 685… Deux ans avant la date d’aujourd’hui.
Il est à noter que Liam gardes encore précieusement ce Grimoire avec lui…



Hrp

Code: Validé par Arren
Comment as-tu trouvé le forum? Une longue soirée, une envie soudaine de rp, et un annuaire de forums.
As-tu des commentaires: Oui mais puisqu'il est trop long, et qu'il déforme la fiche...
Veux-tu un parrain/marraine? Non, mais j’serais fortement intéressé à ce que quelqu’un joues mon « Contact Nocturne »… sinon, bah, ce sera un PNJ de mon cru =P





Commentaire:
Bah le voici!
Un commentaire bien stupide, mais c’est plus côté code pour votre fiche de personnage. Plutôt que d’utiliser des attributs Style dans vos balises Div, c’est possible de faire un lien vers un document CSS dans le header général de la page (configurations avancées quelque part dans le UI de forumactif.) Donc, en utilisant des ID pour faire un lien vers le ID de votre CSS, votre code HTML est bien plus simple à lire, et c’est plus difficile de voler le code de votre fiche puisqu’il faut aller voir dans plusieurs documents. Bref, c’est une manière de faire qui est plus appréciée en programmation web. Oh et aussi, les balises « Center » deviennent de plus en plus dépréciées, on se sert du CSS encore une fois pour faire l’effet.
Mis-a-part ce petit bout de perfectionnisme de ma part (Désolé!!), je dois admettre que j’aime bien le style, l’histoire et le concept du forum, j’espère fortement m’amuser ici et pouvoir faire évoluer cet étrange de personnage par-dessus les attentes que je me suis déjà faites.
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Arrenadd Hilern
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyJeu 23 Aoû - 18:20

Re bienvenu donc à toi Liam ^^ je viens poster ceci après en avoir discuté avec Kalyäh

Pour le physique et le caractère, rien de grave à redire
Pour l'histoire par contre elle est problématique sur certains points, que je vais citer en suivant

Les insultes existent et nous ne limitons pas leur usage cependant plutôt que ' connard ' qui est assez récent, pourquoi ne pas utiliser quelque chose de plus ancien ou même en inventer par exemple.

L'âge du frère à l'époque : Il est encore jeune, à douze ans on est certes plus fort qu'à 9 par exemple mais de là à s'en prendre à un adulte. Une autre chose, à ce propos, si il a été éduqué par les mêmes parents comment se fait-il qu'il réagisse si différement ? Et surtout c'est encore un enfant, pourquoi prend il la parole alors que ça lui couterait sans doute d'être battus.

Le fait d'être traité comme des ' esclaves ' : Il faut bien comprendre qu'on est dans un rpg médieval fantastique. A l'époque que les enfants servent à aider ainsi c'est normal et c'est comme ça partout.

Que ton personnage soit plus rusé et plus imaginatif que les autres ça se comprend mais pense quand même que ça reste un enfant.

Le magicien dans la forêt : La magie sur Merak ce n'est pas comme la magie qu'on voit dans le monde fantastique en général. Très peu la contrôle et pas de la même manière. Je pense donc qu'il faut retirer ce passage.
J'y ajoute cependant qu'un meurtre à dix ans, sans raison et planifié c'est presque impossible.

La suite c'est pareil, il rentre tranquillement chez lui, probablement couvert de sang ( parce que bon, planter un couteau dans la gorge c'est pas propre ) il a disparu un moment tout de même, il a un livre ( ce n'est pas commun, un livre en pleine campagne comme ça, c'est réservé aux villes, aux marchands et à la noblesse ) et on ne lui dit RIEN ? Ça paraît étrange. En plus je doute qu'on lui laisse le livre et même si on lui laissait il ne pourrait rien décoder du tout... lire c'est encore une fois un privilège à l'époque.

Pour le raid des bandits pareil que précédamment, rien ne vient expliquer le comportement anormal d'un enfant devant ce qui est probablement un pillage en règle. Je pense qu'il faudrait revoir tout cet épisode là, encore une fois.

Pour ta fuite sur la route, encore une fois il y a des choses étranges. Tu parvient à calmer un animal sans doute mort de peur et courant dans tout les sens. À le monter, à dix ans, et sans selle, puis à le controler. Non, guère possible. Quand à tenir cinq jours sans manger... je signalerais simplement que tu mourrait au bout de trois.

Pour la référence au couple de mages, les mages sont encore une fois très rares ^^ et la magie n'est pas un art sombre, ni passible de mort. L'inquisition 'nexiste pas

En fait pour tout ce qui est magie et Nocturne il vaudrait mieux ne pas s'y référer sauf si on est du groupe ou cas spécial, pour rester dans le contexte ^^

Voilà voilà, le reste est plutôt pas mal même si conseiller royale à 26 ans je trouve ça un peu juste ^^
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyVen 24 Aoû - 18:26

J'avais presque plus peur que la suite soit plus problématiqeu que l'enfance, mais ouais, je vais procéder a un revamp complet alors. Aussi, pour expliquer que le frère ait une autre attitude, il faut se rappeler que le mon perso n'est pas le fils de ces "Parents" et ainsi que l'autre jeune à eu un minimum de temps à les connaitre. Mais encore, ça sera donc édité totalement. Mais pas aujourd'hui, puisque j'ai une journée de ***** dans le corps et que j'écrirais comme de la *****.

Bref, une nouvelle version devrait être là d'ici demain, je re-posterai afin de l'indiquer.
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyVen 24 Aoû - 20:11

Aucun problème Wink prend ton temps et si tu as besoin de poser des questions nous somme là
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyDim 2 Sep - 11:26

Du nouveau?
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyMer 5 Sep - 11:23

Nous devrons archiver d'ici quelques jours si nous n'avons pas de nouvelles
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MessageSujet: Re: Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE    Liam Kerstein, de son nom officiel [Complété]REFUSEE  EmptyMer 12 Sep - 15:33

Fiche archivée ^^ si tu désire la reprendre prévient nous
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