Présentez-vous Prénom & Nom: Aïssa de Gauroth Sexe: Féminin Âge:  23 ans Race: Humaine Groupe: Les Principautés Humaines Rang: Générale de Meniev Métier: Chevalier Description physique On ne pouvait pas dire d'Aïssa qu'elle était belle, ce serait injurier la magnificence de son apparence. Les traits de son visage avaient été dessinés avec une harmonie indicible, et chaque partie de son physique concordait avec le reste. Sa peau était d'une pâleur diaphane, en cela, on la comparait aux trois lunes de Merak. Sa chevelure bouclée et infiniment longue créait un contraste ; ils étaient plus noirs que la profondeur des abysses. Son corps était bien proportionné, sans être d'une rarissime volupté. Ce qui frappait le plus chez la jeune femme, c'étaient ses grands yeux dorés et maquillés de noir. Ses iris dansaient telles deux flammes dans la pénombre. Quoiqu'on ai pu vous raconter, Aïssa possédait un visage qui vous marquait au premier regard. Concernant son style vestimentaire, elle s'appliquait à se vêtir souvent de cuir et de tissu, formant ainsi des tenues souples pour le combat. Cependant, lors de certaines occasions, elle choisissait plutôt son armure incrustée de pierres de citrine au niveau du col. Fervente admiratrice de toutes sortes de bijoux, Aïssa en portait régulièrement. Elle ne se séparait jamais de sa monture, un magnifique frison nommé Morgoth, ainsi que de ses deux épées. Les lames de ses deux armes faisaient la taille de son avant bras. Description psychologique La demoiselle avait hérité d'un caractère bien trempé, lequel se traduisait surtout par sa ténacité qui frôlait l'entêtement. En effet, lorsqu'elle s'était mis quelque chose en tête, il était une tâche harassante que de l'en faire démordre. Sa détermination et sa bravoure lui permettaient de repousser ses limites, et d'atteindre ses objectifs. L'autorité naturelle qu'elle dégageait - en plus des critères évoqués précédemment -, la prédestinait à devenir une meneuse responsable et mature. Aïssa n'était pas seulement une femme guerrière dévouée à la lutte pour la liberté. Sa clairvoyance et son amour de l'érudition lui firent découvrir l'histoire de Merak. La jeune femme pouvait passer des heures plongée dans les ouvrages vieux de centaines d'années, tant le passé la passionnait. Elle s'évertuait à emmagasiner toutes les informations nécessaires, car c'est en ayant une connaissance parfaite du passé que l'on peut bâtir les bases d'un avenir solide. Histoire La petite Aïssa naquit sous les deux soleils rougeoyants de Meniev, la cité pacifique de Kandor, royaume des humains. Elle n'eut jamais l'honneur de faire la connaissance de son père, un homme aigre et fortuné qui avait séquestré la mère de la demoiselle. A l'époque, Nemouë - la mère d'Aïssa - n'était que servante dans la majestueuse demeure des Gauroth. Malheureusement, Falamir - le père d'Aïssa - s'enticha d'elle, et lorsque la jeune femme repoussa ses avances, il n'osa pas céder à l'échec. Maintes fois il lui proposa des sommes d'argent astronomiques, mais Nemouë restait toujours indifférente à ses supplications. Une nuit, Falamir rentra complètement soûl, affligé de constater que toute sa richesse et son pouvoir ne lui servaient à rien pour obtenir l'amour de cette femme. Sous le coup d'une intense pulsion de désir, il fit irruption dans la chambre de la pauvre employée qui ne se doutait pas un instant du sort que Falamir lui réservait. En premier lieu, il veilla à la bâillonner, puis à l'immobiliser. Dans les yeux du jeune homme frustré, on pouvait lire une cruauté inhumaine. Les cris étouffés de détresse de Nemouë passèrent inaperçu. La nuit enferma ce secret en même temps que les rayons diurnes perçaient les nuages. Toutefois, tout ne se déroula pas comme le jeune noble l'avait prévu ; le ventre de la servante s'arrondissait à mesure que les mois s'égrainaient. De peur que sa réputation soit entachée si l'histoire venait à se propager, il envoya Nemouë à Coji, capitale de Meniev. Là, elle fût recueillie par un jeune alchimiste et écrivain, qui soutenu la jeune femme lors de sa grossesse, puis l'assista pour son accouchement. Cependant, après avoir insufflé la vie à sa petite fille, Nemouë rendu la sienne, léguant sa progéniture au jeune homme qui avait veillé inlassablement sur elle. Touché par le malheur de la pauvre femme, il jura de prendre soin de l'orpheline. Il la baptisa "Aïssa", car ceci signifie "violence" en elfique, une langue que l'écrivain étudiait. La raison pour laquelle il lui attribua ce prénom ? Il savait pertinemment que quand la petite fille aurait pris connaissance de l'histoire tragique de sa mère, elle se gonflerait de haine. Et c'est cette haine qui lui donnerait la force d'avancer, et de surmonter les épreuves de sa future vie. A l'aube de son seizième anniversaire, Aïssa reçut un mot anonyme, accompagné d'une importante somme d'argent. Sur le parchemin, il était écrit " Fais-en bon usage.". En réalité, cela venait de Falamir, qui, par ce moyen, eut l'impression de purger son pêché, et d'offrir à sa fille la possibilité de choisir sa façon de vivre. A l'aide de cet argent, la jeune femme suivit une formation intensive à Archenior en tant que chevalier et épéiste. C'est à cette époque qu'elle décida d'acquérir Morgoth, son étalon de jais. Elle mit toute son énergie dans son apprentissage, s'acharnant à obtenir les meilleurs places de sa classe. Toutes ses années permirent à Aïssa de se durcir mentalement et physiquement, ainsi que de maîtriser à la perfection diverses techniques de combats. Elle ne rentra à Meniev que l'année dernière, en tant que guerrière confirmée. A présent, elle aspirait à trouver une place dans l'armée, et à défendre de justes causes. Hrp Code: Validé par Arren Comment as-tu trouvé le forum? Par simple recherche Google. As-tu des commentaires Le design est magnifique, on est totalement immergé dans l'univers

Bienvenue sur Les Lunes de Merak!!

Tu intègres parfaitement notre monde dans ta fiche, particulièrement dans l'histoire. Ton personnage est intéressant. Je te valide donc sans plus tarder, tu accèdes donc au grade de générale! Félicitations et bon rp.