|
| | Concours d'écriture X2 [Terminé] | |
| Auteur | Message |
---|
Chef du Clan du sud Messages : 1143
| Sujet: Concours d'écriture X2 [Terminé] Sam 5 Mai - 12:08 | |
| Bonjour, Bonsoir à tous!!
Suite à une jolie idée de Kehl, je vous lance alors deux concours. Le premier sera plus sérieux et sera porter sur l'histoire de Merak. Si vous l'avez lue, vous verrez que les Back'ashanme sont déjà disparus sans trop savoir ce qui leur est arrivé. (Si vous ne l'avez pas lue, je vous le conseil fortement, faut que ce soit cohérent!
- Spoiler:
"Une fois l’aube levée, tous constatèrent qu’il n’y avait plus aucune trace de ces fiers cavaliers. Leurs femmes, leurs enfants et leurs chevaux avaient disparus, mais certainement pas les légendes qu'ils avaient semées aux quatre vents."
Le défi sera donc d'écrire leur histoire, à savoir ce qui s'est produit lorsqu'ils sont disparus sans laisser de trace! Il n'y a pas de critères, soyez seulement imaginatifs! Le concours prendra fin le 19 mai.
On affichera évidemment les textes des trois premier gagnants et ces derniers gagneront respectivement 750, 500 et 350 points de réputation (qui je vous le rappel, vous permettra d'accéder à des privilèges éventuellement). À tous ceux qui participeront, 50 points seront remis.Le deuxième concours sera d'écrire un texte en utilisant le plus souvent possible le mot "Alpaga" (C'est un animal assez étrange, tapez sur google pour voir ^^). Bien sur, celui-ci peut être à caractère humoristique ou autre, c'est à votre goût. Celui qui remportera ce défi pourra (et devra) par la suite en lancer un autre à son tour! Le gagnant recevra également 500 points de réputation! Le concours se termine le 19 mai! À vos claviers!Veuillez m'envoyer vos textes par message privé !!
Dernière édition par Kalyäh Taliësin le Mar 28 Aoû - 19:31, édité 1 fois |
| | | Chef du Clan du sud Messages : 1143
| Sujet: Re: Concours d'écriture X2 [Terminé] Jeu 17 Mai - 15:53 | |
| Nous allons rallonger le délais de quelques jours, afin de vous permettre d'y participer! |
| | | Chef du Clan du sud Messages : 1143
| Sujet: Re: Concours d'écriture X2 [Terminé] Mer 23 Mai - 22:48 | |
| |
| | | Chef du Clan du sud Messages : 1143
| Sujet: Re: Concours d'écriture X2 [Terminé] Ven 1 Juin - 0:14 | |
| Bonjour à tous!!
Je dois avouer qu'il me fut TRÈS difficile de faire un choix quant aux participations pour le premier concours. J'y suis allée selon des coups de coeur lors de cette lecture même si j'ai apprécié tous vos textes. Certains très originaux, d'autres m'ont fait rire!! Merci d'avoir prit le temps pour tout ça, c'est apprécié Sachez également que le résultat est donné selon le feeling du moment et par moi uniquement, et que quelqu'un d'autre aurait choisi à ma place ça aurait peut-être été différent ^^
D'ailleurs, je vous invite à voter par mp pour celui des trois que vous préférez (afin d'avoir plus d'avis que le mien), celui qui l'emportera sera le texte officiel de cette fameuse légende.
Première place: Mathys Henners
J'ai particulièrement aimé la référence à la magie du forum! Félicitations.
- Spoiler:
Dehors, la nuit était déjà tombée et l’orage faisait rage. Il y avait comme une impression de fin du monde, comme si le ballet furieux des éléments déchaînés annonçait la fin de l’Ordre et marquait l’avènement du Néant. Dans cette ambiance apocalyptique, une pauvre âme marchait tant bien que mal, s’écroulant devant la puissance des bourrasques, frigorifiée par la pluie et le vent. Elle sentait sa dernière heure arrivée. Qui aurait pu survivre alors même que la nature était ravagée par le formidable combat des éléments : certainement pas un jeune homme de son âge, jugé trop maigre par les autres membres du village. Pourtant il continuait de marcher. Même s’il n’était pas fort, son père lui avait appris qu’un véritable homme devait mourir debout. Il allait mourir ce soir, il le savait, mais il ne le ferait pas à genoux, et lorsque la mort l’emporterait, il lui cracherait dans l’œil, comme son père l’avait fait lorsqu’elle était venue pour lui.
Il s’essuya une nouvelle fois le visage, aveuglé par des goutes d’eau plus grosses que son poing et qui lui martelait douloureusement le corps, et c’est à ce moment là qu’il vit une petite lueur trembloter devant lui. Il ne comprit pas tout de suite ce que c’était, mais un éclair illumina un bref instant la scène et il vit qu’il s’agissait d’une petite cabane en bois comme on pouvait en trouver parfois. Comment tenait elle encore debout alors qu’il avait vu des arbres épais comme trois hommes couchés par le vent ? Un nouvel éclair, particulièrement proche de sa position lui rappela que dans sa situation, cette question était secondaire. Il parvint jusqu’à la porte de la maison et la tambourina de toutes ses forces. Pourvu qu’on l’entende ! Il savait qu’elle était habitée, il avait vu la lumière à la fenêtre !
Il sentit la porte céder sous ses coups et s’ouvrir doucement. Il s’empressa d’entrer et de la refermer derrière lui. La première chose qui le troubla, alors qu’il tournait encore le dos à la pièce, fut le silence : il voyait le tourment qui se déchaînait par la fenêtre, mais dans cette pièce il n’en avait aucun écho, comme si la tempête n’avait jamais existé. Il se sentit isolé du monde extérieur. Peut être était-ce un quelconque sanctuaire magique. Se retournant enfin, il découvrit une petite pièce agréablement meublée. Un puissant feu brûlait dans l’âtre et dispensait sa chaleur. Il y avait deux chaises, dont l’une était occupée par un très vieil homme. Quel âge avait-il ? Il semblait aussi vieux que le monde avec ses milles et une rides qui parcouraient son visage et ses mains qu’il laissait reposée sur sa chaise. Ses yeux cependant brillaient d’intelligence et de malice et le sourire qu’il lui offrit faisait penser au printemps.
- Tu es une âme bien courageuse mon garçon pour marcher par un temps pareil. Comment t’appelles-tu ? - Kel, monsieur.
Que sa voix était puissante ! Il s’était attendu à la voix chevrotante d’un vieillard, mais à la place il avait entendu une voix riche et grave. Qui était ce vieil homme ? Kel avait l’impression de rêver.
- Hé bien Kel, on peut dire que tu as eu de la chance de me trouver, reprit l’homme en souriant. C’était quand même très dangereux de t’aventurer dehors. - J’ai été surpris par la tempête monsieur. J’étais parti pécher pour ma mère au bord du lac et je me suis endormi. J’ai été réveillé par les premières goutes de pluies et depuis je lutte pour rentrer chez moi. - Tu peux m’appeler Ashanme mon garçon, et je ne peux pas te laisser sortir. Reste donc avec moi et attendons que la tempête se calme. Tu rentreras ensuite chez toi. Est-ce que tu as faim ?
Kel acquiesça et Ashanme lui désigna une assiette de fromage et du pain qui reposait sur la petite table. Il ne l’avait pas remarqué mais il fit honneur au repas qu’on lui offrait. La nourriture était délicieuse, le plus bon fromage et bon qu’il ait jamais goûté à vrai dire. Lorsqu’il eut finis, le vieil homme lui tendit une chope de vin chaud.
- Pour nous réchauffer dans cette nuit, dit il en trempant ses lèvres dans sa propre chope. Je n’ai pas l’habitude de croiser des personnes Kel. Dis-moi, voudrais-tu écouter une histoire ? Une histoire très ancienne que mon père m’a racontée. Il l’a tenait de son père qui lui-même la tenait du sien. Il est question de guerrier formidables, de magie et de drames. C’est une histoire que tu n’entendras pas souvent. Kel acquiesça vigoureusement. Pour une étrange raison, il se sentait divinement bien. Très bien, alors écoutes moi. L’histoire début il y a des centaines d’années de cela …
Mon histoire commence à une époque où le monde était bien plus jeune qu’il ne l’est aujourd’hui. L’air y était plus pure, le ciel plus neuf et les montagnes ne nous contemplaient pas encore du haut de leur vénérables siècles. C’était un monde nouveau, plein de promesse et d’avenir, un monde d’espoirs qui vivaient sous le règne bienveillant des Back’ashanme. Élus des Dieux, ils incarnaient la force et la jeunesse d’un monde qui n’en était qu’à ses premières respirations. Jamais fixés, toujours à parcourir leur fief sur leurs formidables destriers, ils étaient les maîtres du monde. Tous s’inclinaient devant leur passage : les Syrcopins et les Atth'antier les vénéraient, car ils étaient les hérauts de grands changement, les Talamn'eko les craignaient, mais tous profitèrent de leur savoir et de leur arts. Cependant, je crois que le destin ne peut se satisfaire d’une perpétuelle Félicité. Peut être est-ce pour le mieux, après tout, comment connaître la valeur du bonheur si nous n’avons jamais goûtés au désespoir. C’est-ce que je crois lors des rares moments où je me sens philosophe. Quoi qu’il en soit, cette période heureuse ne pouvait durer, et ce qui devait provoquer la disparition des Back’ashanme, et avec elle le début d’un âge d’obscurité pour les peuples fut une femme. Qui aurait pu croire qu’une simple femme pouvait précipiter le destin de tout un monde ? Les Dieux sont certainement doués d’un humour particulier.
Elle s’appelait Lilith et tous s’accordaient pour dire qu’elle était la plus belle Back’ashanme qu’ils aient jamais vu. Certains allaient même jusqu’à dire que les Dieux avaient décidés de marquer leur approbation en offrant au peuple Elu cette femme. Mais ce qui la distinguait et la rendait si précieuse, c’est qu’elle était bénie. Elle pouvait soigner les maladies d’une simple apposition des mains sur le front du malade. Elle était capable de discerner dans le chant du vent si le temps serait clément ou non, s’il fallait monter les tentes ou s’il était possible de simplement poser les couvertures sur le sol. Chaque Back’ashanme respectait son jugement, même les Anciens. Il n’y a jamais eu de chef chez les Back’ashanme, mais assurément elle en avait toutes les caractéristiques. Parfois je me plais à penser qu’elle n’appartenait pas tout à fait à notre monde, qu’elle était l’incarnation bienveillante de la magie qui nous faisait tous vivre, mais c’est pourtant cette bienveillance qui poussa les Gardiens de la Lumière à disparaître. Écoutes bien mes paroles et retient le, car elles sont la retranscription fidèle de ce dit Lilith un soir à son peuple qu’elle avait rassemble exprès pour cette occasion.
« Mes mères et mes pères, mes sœurs et mes frères, mes filles et mes fils, entendez ma Parole car il en va de notre destin, mais également à ceux que nous protégeons et éduquons. Cette Parole, je la tiens du Vent qui me la murmuré au creux de l’oreille, de l’Eau qui m’en a abreuvé, du Feu qui m’a réchauffé avec elle, de la Terre qui m’a ébranlé avec elle et du Destin qui l’a gravé en moi. Écoutez moi bien : un sombre danger menace notre Terre adorée, si belle, si puissante et pourtant si fragile. Par delà la mer, venant des terres que nul n'a jamais foulé, Ils avancent. Qui sont-ils ? Même notre Terre l’ignore car ces êtres ne sont pas ses enfants. Entendez moi, fidèles Back’ashanme et préparez vous, car il nous faut marcher à leur rencontre, il nous faut les affronter là où nul n’est encore allé afin de protéger notre monde et les peuples enfants qui sont sous notre responsabilité. Je ne sais pas si nous gagnerons, mais j’ai foi en notre peuple. Nous sommes le dernier espoir. »
Après avoir prononcé ces paroles, Lilith s’était tue et sans un mot, elle s’était retournée vers le Nord et avait commencé sa marche. Les Back’ashanme restèrent quelques instants silencieux, puis l’un d’entre eux fit le premier pas pour suivre celle qu’ils respectaient tous, puis un autre en fit de même, et ce fut très vite tout un peuple qui se mit sur les traces de leur Guide. Parents, frères et sœurs, et même les enfants, tous abandonnèrent leur terre pour l’inconnu, pour le Salut du monde ne laissant aucune trace derrière eux. Lorsque les soleils se levèrent enfin, les peuples enfants découvrirent que les Back’ashanme avaient disparus sans laisser de traces. Tu connais la suite, le chaos s’abattit sur le peuple des hommes qui devinrent de bien misérables créatures, ce n’est cependant pas ici que mon histoire s’arrête, et je ne te raconterais pas ce que tout le monde sait. Mon histoire continue sur les traces de Lilith et de ses fidèles Back’ashanme.
Ils marchèrent de long mois vers le Nord puis lorsqu’ils arrivèrent au bord de l’océan, ils construisirent des bateaux pour eux et leurs magnifiques cheveux. Ils traversèrent alors cette vaste et dangereuse étendue d’eau jusqu’à atteindre les terres que l’on nomme aujourd’hui Garganta. Durant tout le trajet, Lilith les avait guidé sans hésitation, poussé par le Vent qui lui murmurait le chemin, mais à présent qu’ils allaient pénétrés dans le territoire de ces étranges créatures, elle n’entendait plus les éléments lui indiquer le chemin. Courageusement, elle et les Back’ashanme s’engagèrent dans l’inconnu. Les premiers mois, ils ne virent aucune de ces créatures, mais ils arrivaient à chasser et à trouver de l’eau. Puis les mois devinrent des années sans que la détermination de ce peuple ne faiblisse et sans que le mystérieux ennemi ne ce soit montré. Des enfants étaient nés et grandissaient dans ce morne univers blanc, des vieillards étaient morts, mais inlassablement, ils continuaient leur marche. La terre ne semblait avoir aucune fin, mais pareille était leur détermination. Les années devinrent des décennies : dix ans, vingt ans. Ils avaient laissé derrière eux les steppes gelées pour traverser une forêt comme tu ne pourrais en imaginer où le danger se cachait derrière chaque feuille, puis ils avaient découverts un nouvel océan, infiniment plus mortel que le premier. Sur cette étendue d’eau, certains ne revinrent jamais, leur bateau happé par d’effroyable créatures marines. Lorsqu’ils abordèrent enfin le rivage, toujours guidé par Lilith, ce fut pour découvrir un désert de rocailles rouge sang. Cette nouvelle épreuve leur semblèrent insurmontable. Ils avaient des vivres pour des mois, mais où trouveraient ils l’eau nécessaire dans cet enfer ? Lilith les rassura et leur expliqua qu’elle serait trouver le liquide précieux. Ils s’engagèrent sur ce nouveau continent.
Les premiers jours sous l’œil implacable des soleils furent difficile et certains pensèrent à abandonner, mais dès que l’un d’entre eux perdait courage, il lui suffisait d’observer Lilith qui malgré l’âge qui la gagnait après toutes ces années, était toujours la première levée et la dernière couchée. Et puis un jour, un jeune Back’ashanme cria. Là ! A l’horizon ! Il y avait une discontinuité dans l’univers de roches sanguines qui était le leur: une tâche sombre. Enfin ! Enfin ils avaient la preuve que Lilith ne s’était pas trompée. Ils décidèrent ce jour là de s’arrêter et d’organiser une grande fête. La tâche était encore bien loin, il leur faudrait plusieurs jours pour l’atteindre, aussi avaient ils le droit de s’accorder ce premier moment de répit après toutes ces années. On festoya et on chanta. Leur quête arrivait à sa fin et bientôt ils pourraient retrouver les rivages de leur enfance. Ils finirent par se coucher alors que la nuit tombait.
Lilith fut la première à se réveiller le lendemain et lorsqu’elle observa l’horion, son cœur se serra d’effroi. Ce qui n’avait été qu’une petite tâche avait triplé de taille et elle pouvait percevoir un faible bourdonnement, régulier, comme celui que ferait un tambour et alors elle comprit. Ce qu’ils avaient pris pour un bâtiment, ou peut être une nouvelle terre n’était en réalité que la vaste armée de l’Ennemi qui approchait vers eux. En une nuit ils avaient comblés la distance qui les séparés des Back’ashanme et seraient sur eux dans quelques heures à peine. Elle réveilla tout le monde et leur dit de se préparer. Les enfants et les femmes les plus faibles furent écartés et tous les autres prirent leurs armes et contemplèrent l’armée qui avançait vers eux. Chacun monté sur leurs cheveux, ils savaient qu’ils étaient les guerriers les plus puissants de leur monde, mais cela suffirait il face aux créatures qui approchaient d’eux ?
Après plusieurs heures, ils purent enfin distinguer le visage de leur ennemi. Les créatures qu’ils allaient affronter n’avaient rien d’humains. C’était des monstres, enfants d’un dieu maléfique peut être. Ils couraient à quatre pattes en poussant d’effroyables cris. Leur peau était plus sombre qu’une nuit sans étoiles et leurs gueules garnis de terribles crocs d’où goutait un liquide verdâtre. Chaque Back’ashanme raffermit son emprise sur son arme et Lilith, elle aussi armée et harnaché d’une armure blanc et or tendit son arme au dessus d’elle avant de pousser un cri de guerre qui fut reprit par tout son peuple. La bannière aux croissants de lunes sur un fond rouge fut fièrement dressée et alors commença leur charge. Comment te décrire ce moment d’une beauté parfaite : ils étaient l’incarnation de la force, du courage et de l’abnégation. Ils ne savaient pas s’ils vaincraient et ils savaient qu’on les avaient tous oubliés, mais ils se battaient pour eux et pour leur monde. Lorsque les deux armées se rencontrèrent, ce fut comme si deux monde entraient en collision. Il eut des cris de douleurs et des larmes. Chacun des deux camps savaient qu’il n’y aurait pas de compromis possible : il ne pouvait y avoir qu’une victoire totale. Les Back’ashanme tirent bon. Ils semblaient inépuisables et au milieu d’eux, Lilith était un tourbillon dispersant la mort autour de lui. Pas une seule des créatures ne pouvait résister à ses coups. Une journée passa, puis une nuit et aucuns des deux camps ne semblaient faiblir. Les lunes dispensaient leurs lumières suffisamment pour que l’on puisse y voir. Les soleils se levèrent sans que personne ne prenne l’avantage. Surgit alors une profonde secousse qui fit trembler tout le monde et la terre s’ouvrit devant les Back’ashanme. Un bras plus long qu’un homme et plus épais qu’un cheval en émergea, suivit d’un deuxième puis une tête où brillaient deux flammes chargées de haines. Une créature haute comme cinq hommes émergea de la crevasse. Elle portait une épée entourée de flammes blanches et de son corps s’échappaient des nuées d’insectes. Elle darda une gueule d’où s’échappait des flammèches sur les Back’ashanme et alors ceux-ci connurent pour la première fois la peur. La créature avançait, massacrant tout ce qu’elle croisait. Les Gardiens de l’Aube avaient perdus et avec eux, c’était leur monde qu’ils condamnaient. Cependant, alors qu’ils se préparèrent tous à mourir, la voix de Lilith se fit entendre dominant aisément la clameur de la bataille. « Gardez espoir mes frères et mes sœurs et pardonnez moi ! Je prie pour que vous retrouviez le chemin de notre maison ! » Lilith éperonna son cheval sur ces étranges paroles et se précipita vers le géant en poussant un puissant cri de guerre. L’immense créature porta un coup qui faucha le destrier de la femme mais celle-ci se réceptionna et continua sa course. Lorsqu’elle arriva à sa hauteur, elle sauta et enfonça profondément son épée dans le ventre de la bête. Le géant poussa un effroyable cri de douleur et il eut une intense lumière qui aveugla tout le monde. Lorsque les Back’ashanme purent enfin y voir de nouveau l’armée avait disparue ainsi que le géant et Lilith… Ils avaient gagnés, mais ils avaient également perdu celle qui avait su les guider toutes ces années, celle qui avait su protéger ce monde. Ils étaient seuls, et malgré leur victoire, ils pleurèrent sur la disparition de celle qu’ils avaient aimés, mais aussi sur leur malheur, car sans elle, comment allaient ils rentrés ?
C’est ainsi que commença leur longue errance à travers les terres inconnues. Revenant sur leur traces, ils trouvèrent facilement le rivage mais la traversé de l’océan fut une nouvelle fois mortelle pour certains. Cependant leur vraie errance débuta lorsqu’ils abordèrent les rivages de l’immense jungle. Un nombre incalculable de fois ils crurent qu’ils ne rentreraient jamais, des générations naissant et disparaissant sur ce chemin qui n’en finissait jamais, mais à chaque fois, ils trouvaient de quoi chasser, de quoi survivre et le souvenir de ce qu’avaient fais leur ancêtres continuaient à les pousser devant. Pourtant, après des mois dans la jungle, ils décidèrent qu’ils pourraient peut être faire de cette terre leur nouvelle maison. Pour la première fois de leur vie, ces nomades s’installèrent définitivement à un endroit. Ils construisirent des maisons et fondèrent leur premier village. Ils s’habituèrent aux dangers de leur nouveau monde et bientôt ils purent pleinement vivre dans cet endroit. Ils l’appelèrent Sil’Sekou, « La Terre des Vainqueurs » et les années passèrent ainsi. Ils vivaient de la chasse, de la culture et de la pèche, mais chaque matin, chaque Back’ashanme se réveillait avec le regret de ce qu’il avait perdu. Des décennies passèrent puis le dernier survivant de l’incroyable épopée qui avait vu Lilith disparaître mourut, laissant pour la première fois les nouvelles générations de Back’ashanme totalement seules.
Ils s’étaient habitués à leur nouveau monde, et peut être seraient ils resté là bas à jamais, mais encore une fois, les Dieux bouleversèrent leur vie. Un prophète naquit chez eux. Le pouvoir de cet homme ne se révéla qu’à l’adolescence, mais lorsque ce fut fait, il annonça à son peuple qu’il leur fallait partir et tout abandonner une nouvelle fois. Il avait eu la vision de ce qu’était devenu le peuple des hommes durant leur absence : des animaux qui ne cherchaient qu’à dominer leur prochain. Il ne connaissait pas le chemin du retour, mais il savait qu’il leur fallait les aider. Ils étaient leurs enfants et c’était pour eux qu’ils étaient partis, des siècles plus tôt. Alors les Back’ashanme abandonnèrent une nouvelle fois leur maison pour partir en quête des terres qui les avaient vu naître. La traversée de la jungle fut éprouvante, et nombreux périrent, les jeunes enfants et les vieillards principalement, mais ils finirent cependant par atteindre les terres gelées. Cependant dans ce vaste et morne univers blanc, ils n’avaient aucun point de repère pour les guider. Il s’y engagèrent tout de même pendant de longs mois où le malheur faisait parti de leur quotidien. Leur seul bonheur était que leurs magnifiques cheveux parvenaient à survivre comme eux. Les Back’ashanme avaient toujours eu bien plus d’équidés que de membres, et ils les gardaient en troupeau afin de permettre la naissance de nouveaux poulains. Il est impossible de dire combien de temps ils errèrent survivant malgré toutes les probabilités, mais un beau jour, ils arrivèrent enfin en vue de la mer. Ils y étaient parvenus, ils avaient survécu à ces terres hostiles et étaient de retour chez eux. Ils utilisèrent alors le bois qu’ils avaient emporté de Sil’Sekou pour se construire de nouveaux navires et ils purent enfin naviguer chez eux. Cependant avant leur départ, ils se firent la promesse de ne jamais dévoiler la vérité sur leur incroyable odyssée. C’était quelque chose qui ne concernait qu’eux seuls et ils chériraient ce secret.
La suite tu l’as connais. Ils virent ce que les hommes étaient devenus sans eux et ils les délivrèrent de leur tourmente avant d’instaurer la Première Dynastie.
- C’est ici que s’achève mon histoire, Kel.
Le jeune homme était bouleversé. Ce que venait de lui raconter Ashanme était si incroyable ! Ce n’était qu’une histoire, mais il aurait tant voulu qu’elle soit vraie ! Les Back’ashanme, encore aujourd’hui ce nom était chargé de légende. Il aurait voulu poser milles questions au vieil homme. Comment connaissez t-il cette histoire ? Pourquoi semblait-elle si vraie ? Mais le sommeil le gagna sans qu’il ne puisse rien faire et il sentit ses yeux se refermer lentement. La dernière vision qu’il eut avant de s’endormir fut celle d’Ashanme qui lui souriait gentiment puis le sommeil l’emporta dans un monde rempli de guerriers mythiques et de monstres. Un courant d’air sur sa peau réveilla Kel. Il eut un peu de mal à émerger du sommeil profond dans lequel il était plongé mais la sensation que quelque chose clochait le poussa à se réveiller complètement. Il constata alors qu’il était allongé au pied d’un arbre. Il n’y avait plus aucune trace de la cabane ni du vieil homme ! Il était persuadé de ne pas avoir rêvé ! Il regarda autour de lui et vit bien les ravages provoqués par la tempête de la veille. Il passa une main dans ses cheveux, s’interrogeant sur ce mystère et sentit quelque chose de séché. Lorsqu’il retira sa main, il vit qu’elle était rouge. Se retourna, il vit une grosse branche à coté de lui, rougie par son sang. Il comprit alors qu’il avait dû être assommé par une branche qui était tombée sous les coups du vent. Alors tout cela n’avait été qu’un rêve… mais quel merveilleux rêve ! Il se releva avec précaution et reprit sa marche : il lui fallait rentrer chez lui. Lorsqu’il mit ses mains dans ses poches, il sentit quelque chose sous ses doigts. Il retira sa main, dévoilant une chevalière sur laquelle était gravée deux croissants de lunes sur un fond rouge. Se retourna précipitamment, le jeune homme cru entendre un rire grave et riche et en plissant les yeux, il eut l’impression de voir une figure qui disparaissait lentement entre les arbres…
Tout ceci était il donc vrai ?
Deuxième place: Celend Tirk
Félicitations!
- Spoiler:
"Les trois lunes brillaient d'une intensité toute particulière dans le ciel cette nuit là, comme pour illuminer ce petit sentier à peine visible. C'est d'ailleurs la première fois que vous vous avisez de son existence...
Intrigué, vous décidez de l'emprunter non sans méfiance. Écartant avec délicatesse les branchages vous barrant la route, vous finissez par déboucher à l'entrée d'une grotte.
Là, au milieu de la caverne, à même le sol; repose un fin ouvrage poussiéreux. Lorsque vous posez la main dessus pour en essuyer la couverture, vous constatez que sur la reliure rouge apparaît un emblème : Deux croissants de lune bleu. Vous n'osez croire en la précieuseté de ce que vous tenez entre vos doigts...et pourtant, vous finissez par ouvrir l'ouvrage non sans quelques tremblements fébriles.
Nombre de pages s'effritent à votre contacte ou sont totalement moisies mais vous parvenez quand même à déchiffrer ce qui vous paraît le plus important …
« Journal de Kjergen – année (écriture illisible) »
[...]pouvaient voir les deux soleils faisant rutiler les pièces métalliques qui ornes nos montures. Certains sont fatigués car nous avons chevauché toute la nuit à travers une plaine interminable. A présent une senteur étonnamment douce répand ses effluves dans l'air... de l'iode, l'océan n'est guère loin mais nous devons trouver une source d'eau douce pour nos chevaux et nous-même. Nous allons pouvoir faire des provisions de poissons et en faire sécher une partie pour les échanger avec les Syrcopins ou les Atth'antier. Demain nous.....[passage illisible...]
[...]longeons la côte au hasard, poussés par un vent particulièrement violent. C'est étrange de constater combien les lunes semblent plus grosses de nuit en nuit à mesure que nous avançons. Nous n'avons croisé d'âme qui vive depuis quatre jours. Les hommes se demandent s'il est juste de continuer ainsi à suivre le mistral qui sévit.[...]
[...]comme un sortilège. Nous avons perdu le compte des jours et des nuits passées à galoper sans relâche. Il est inquiétant de constater que nos montures semblent suivre d'instinct un itinéraire invisible à nos yeux... Nous avons dû manger les provisions que nous destinions au troc.[…]
[...]écume semble s'échapper de la bouche de nos chevaux ! Le ciel est tant couvert qu'il ferait presque plus clair la nuit. Le temps semble s'être figé, nous redoutons les jours à venir... Certains ont été victime de chutes malencontreuses entrainant la mort de deux hommes et d'un garçonnet. Leur dépouilles ont été offertes à la mer avec leur montures, depuis l'eau elle-même semble s'être figée.[...]
[..]personne ne dit rien mais nous sommes tous à bout de nerf. C'est comme si nous chevauchions dans une dimension parallèle... le monde est le même mais il est paralysé, mort, vidé de toute présence en dehors de la notre. Puis l'orage a commencé à gronder. D'abord faiblement, puis de plus en plus fort.[...]
[...]Un nouveau jour s'achève avec grand fracas. Le tonnerre fait vibrer jusqu'aux dents des petites filles. Quelque chose est en train de se produire...aucun nuage n'est visible dans le ciel et pourtant la tempête fait rage. Nos chevaux ont fait halte sur la plage, nous obligeant à contempler la foudre frapper sous nos yeux la surface lisse de l'eau en un éclair bleuté. C'est alors qu'il est apparut[...]
[...]Au son du Cor il nous semble que tout notre être grince de terreur. L'enfant aux yeux de nacre surgit de l'océan s'arrête enfin...il nous regarde de sa face inexpressive et pâle comme les lunes. Ce n'est que lorsque il nous offre son sourire narquois que nos montures se remettent en marche...mais contre toute attente, c'est dans l'eau salée qu'elles nous mènent...[...]
[...]la panique s'empare de nos esprits mais nos corps ne nous appartiennent déjà plus ! Bientôt seuls nos visages fleurissent encore hors de l'eau, puis plus rien. Ce n'est que lorsque tout air se fut extrait de nos carcasses englouties, alors que nous aurions dû tous périr, que l'improbable se produisit. Nous nous fîmes aveugle, sourd et muet; et bientôt l'eau ne se fit plus sentir sur nos chairs. Puis quand enfin, nous ouvrâmes à nouveau les yeux pour contempler notre propre mort, ce qui nous fut donné de voir ne su qu'être beauté et merveille.[...]
[...]il y avait un ciel mais dans celui-ci ne brillait plus de lune, c'est notre propre monde qui nous était donné de contempler ! Par un exquis mystère, il nous était donné de découvrir une nouvelle race, de nouvelles coutumes et vies.[...]
[...]bout de plusieurs années, ceux que nous avions baptisés les enfants de lune, nous avaient transmit un savoir dépassant nos rêves les plus fous. Je ne pouvais m'empêcher la comparaison avec mon propre monde, si peu construit et éduqué... Jamais nous ne devions leur demander ni savoir pourquoi ils nous avaient fait venir dans leur cité. Mais un jour, lorsque nous leur demandâmes enfin, ils nous renvoyèrent sur notre planète. Riche du savoir qu'ils avaient bien voulu nous transmettre.[...]
[...]mais quand nous sommes arrivés, nos terres n'étaient plus que champs de guerre et de désolation ! Tout avait changé, mais pas nous. Alors nous chargeâmes sur ceux qui étaient autrefois nos alliés...et nous gagnèrent.[...]
Lorsque vous terminez cette phrase le livre fini totalement de se désintégrer sous vos doigts. La poussière retourna à la poussière, et vaguement surpris, comme vous éveillant d'un rêve, vous retournez de là d'où vous êtes venu. Sans parler ni même oser respirer tant vous êtes choqué, terrifié, émerveillé par ce que vous venez de lire...
Mais vous aurez tôt fait d'oublier cela, comme tant d'autres choses, reléguant au passé ce qui n'a plus lieux d'être.
Troisième place: Kehlvh'an Nyl’Nacra
Félicitations
- Spoiler:
Qu'était-il donc advenu de cette fière peuplade qui dominait alors le monde du haut de puissants destriers ? Quel chemin avaient-ils emprunté, hors du monde connu, pour disparaître ainsi sans laisser de trace ? Peut-être était ce chemin brumeux, au delà des limites du futur Kandor et de l'Illithil, que nul n'avait encore emprunté. Un chemin conduisant au cœur de la forêt dense que seul la lune violette de la fin d'un été chaud et sec, un été emplis d'étrangeté et de magie qui saturait l'air. La lune violette, phénomène n'apparaissant qu'une fois tout les vingt ans lorsque la concentration de chaleur et d'énergie saturait l'atmosphère au cours de l'été et en aucune autre saison. Lorsque ce phénomène se produisait dans les conditions adéquates la vision des terres changeait au cours d'une unique nuit, dévoilant les trésors dissimulés au yeux des peuplades. Cette nuit là, cette nuit fatidique, était une lune violette. Alors que la tribut Back'Ashanme traversait se qui serait bien des années plus tard la frontière de la Lande un passage vers la forêt apparut, un passage jusqu'alors invisible. Fiers combattants et aventuriers et muent par une attirance impossible à expliquer ils empruntèrent tous le chemin dévoilé par la lune violette jusque dans les profondeurs de la grande forêt. Là, dans un environnement aussi étrange qu'exotique poussaient des plantes aussi hautes que des géants, éclipsant la lumière du soleil et de la lune sous des feuillages si énormes qu'une nuit perpétuelle régnait au dessous. Dans l'espace confiné l'air était lourd du parfum d'énormes fleurs couleur de sang, entêtant au point de créer illusion et folie dans le cœur des étranger. Des bêtes inconnus et tout aussi étranges que la flore glissaient, volaient ou rampaient, prêt à se repaître de la chaire inconnu. La seule source de lumière provenait de cristaux aquatiques luminescents tirant leur capacités de l'eau. Les Back'Ashamne traversèrent la forêt avec force perte, l'air saturé étouffait les plus faible et changeait les autres, l'eau riche en magie et en minéraux rares n'apportait pas autant à leur corps qu'autrefois. Combien de temps avaient-ils erré dans les limbes de cette gigantesque forêt sans fin ? Des années peut-être, jusqu'à ce qu'ils débouchent enfin sur un lac gigantesque, tout comme la forêt il n'avait ni fin ni source, existait tout simplement là sans qu'aucune explication n'existe. La tribut s'y installa, trouvant là absolument tout ce qui était nécessaire à leur survit. Ils formèrent là une nouvelle génération de guerriers et de guerrières, protéger hors du temps jusqu'à là nouvelle lune violette qui leur permit de reprendre leur place dans le monde.
Merci à tous pour votre participation |
| | | Chef du Clan du sud Messages : 1143
| Sujet: Re: Concours d'écriture X2 [Terminé] Ven 1 Juin - 0:20 | |
| Pour le deuxième concours, je n'ai eu qu'un seul participant et il se mérite amplement le prix!! Prenez le temps de lire son texte, je ne croyais pas qu'on pouvais dire autant de fois le mot Alpaga dans un texte XD Merci Daëron <3 - Spoiler:
L'alpaga est un mammifère. L'alpaga est un animal domestique et l'alpaga est un membre de la famille des petits camélidés comme le lama, le guanaco et la vigogne. L'alpaga rumine (comme Eli) mais l'alpaga n'est pas classé dans la famille des ruminants . L'alpaga vit une vingtaine d'années. L'alpaga est un animal de compagnie , l'alpaga est un animal d'agrément et l'alpaga est un animal d'ornement. Mais l'alpaga est aussi est très calme et doux. L'alpaga a une affinité naturelle avec les enfants mas l'alpaga l garde une certaine indépendance. L'alpaga n'est cependant pas farouche . L'alpaga est un animal très curieux et l'alpaga est aussi très intelligent.L'alpaga n'a aucune agressivité , ni envers l'homme , ni envers d'autres animaux. L'alpaga peut cohabiter facilement et l'alpaga n'est pas fugueur . Cependant , pendant la saison des amours , les alpaga mâles deviennent plus farouches et crachent sur les autres alpaga mâles des boules de contenu gastrique , comme le font d'ailleurs les lamas. La laine d'alpaga est une fibre très haut de gamme , plus douce, plus chaude , plus résistante et plus légère que la laine de mouton .On peut tondre l'alpaga tous les ans , mais la toison d'alpaga toison peut être gardée deux voire trois ans. L'alpaga est beau, l'alpaga vit en troupeau et l'alpaga a différents coloris. L'alpaga est un animal joueur mais l'alpaga est aussi un farceur. L'alpaga aime les blague qu'il raconte quand il est en présence d'autres alpaga. Voici un extrait de blague d'alpaga qui vous plongera au cœur du monde des alpagas.
"Il vient de se produire un terrible accident de bus. Et malheureusement, personne n'a survécu à l'accident, sauf un alpaga. L'alpaga était à bord. Comme il n'y a eu aucun témoin de cet accident, la police est obligée d'essayer d'interroger l'alpaga afin d'en savoir un peu plus. l'alpaga semble d'ailleurs assez doué et répond à leurs questions par gestes. En voyant l'alpaga faire ça,l'inspecteur de police commence l'interrogatoire: '-Que faisaient les gens dans le bus au moment de l'accident?' L'alpaga secoue la tête. L'alpaga commence à danser et à tourner sur lui-même. L'alpaga signifiant ainsi que les occupants du bus rigolaient bien. L'inspecteur insiste: '- Oui, et qu'est-ce qu'ils faisaient d'autre encore monsieur l'alpaga?'. L'alapag montre sa main avec le pouce levé, puis l'alpaga porte sa patte à sa gueule, l'alpaga signifiant ainsi que les gens du bus buvaient aussi. L'inspecteur: '- Oh! Ils buvaient en plus monsieur l'alpaga ??!' Et que faisaient-ils encore d'autre monsieur l'alpaga??'. L'alpaga fait un rond avec sa patte, rond dans lequel l'alpaga introduit son autre patte, l'alpaga signifiant ainsi que ceux du bus étaient en pleine partie de jambes en l'air. Enfin l'inspecteur, perdant un peu patience, demande à monsieur l'alpaga: '- Et toi, qu'est-ce que tu faisais alpaga??' Alors l'apaga tend ses deux pattes devant lui et serre ses mains puis il fait comme si il tournait un volant.."
|
| | |
| Sujet: Re: Concours d'écriture X2 [Terminé] | |
| |
| | | | Concours d'écriture X2 [Terminé] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|