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 Ogami Zaltana the 4th[Validée]

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MessageSujet: Ogami Zaltana the 4th[Validée]   Ogami Zaltana the 4th[Validée] EmptyMar 14 Aoû - 14:27



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Prénom & Nom: Ogami Zaltana the 4th
Sexe: Masculin
Âge: 19 ans
Race: Thériantrope

Groupe: Clan du Nord, Tribu de Esmerin
Rang: Chaman des lunes
Métier: Guérisseur


Description physique




Ogami Zaltana est le genre d’homme qu’on ne peut confondre avec un autre et qu’on repère de loin. Très loin d’être excentrique ou un arc-en-ciel ambulant, un seul détail attire un grand nombre de regards : ses cheveux. Ils tombent au niveau de ses chevilles. Argentés de naissance, lisses et soyeux, il en prend grand soin. Il ne les a pas coupés depuis qu’il est arrivé dans la tribu d’Esmerin, soit 10 ans. Il les porte en une longue natte, des longues mèches devant, lui tombant sur son torse et une très longue frange. C’est un refoulement de toutes ses années où son père le gardait presque chauve. Fort heureusement pour lui, il a la carrure adéquate pour une telle masse de cheveux. Grand et fin, une vraie tige d’un mètre quatre-vingt cinq et un visage ovale, orné d’yeux d’un orange perçant. Les traits de ce dernier sont fins, presque féminin. Et pour ne pas arranger les choses Ogami a prit l’habitude de mettre un baume légèrement coloré sur les lèvres. Il déteste la sensation d’avoir les lèvres gercées par le froid. De plus sa peau est d’une pâle presque comme neige. Peau qui au niveau du dos est couverte de coupures. Malgré cela sa carrure le rattrape. Large d’épaules, bien battit niveau osseux, il a juste la quantité de muscle nécessaire. Il est incroyablement léger, tel un oiseaux : L’harfang des neige.
Sous cette forme il mesure soixante-dix cm de haut, possède une envergure de cent soixante-dix et pesse tout mouillé deux kilos cinq. Entièrement plumé des blancs, de ces pattes à son bec, il lui reste quelques tâches marron puisqu’il est encore un jeune male. Ses yeux parfait sont d’un orange perçant et inratable.




Description psychologique




Ce jeune homme est plutôt énigmatique. Il suit la philosophie de sa mère selon laquelle un chaman doit paraître fort, calme, mystique et en contrôle. Et il le fait à la perfection. Toujours la tête haute, noble et humble avec un grand coeur. Patient et ouvert d’esprit. C’est un homme sans colère ni furie. Un vrai pacifiste sans pourtant être sans défense. Pas très souriant en temps normal, son visage reste neutre, tout comme ses sentiments. Il peut offrir un doux sourire pour rassurer ceux autour de lui, loin d’être froid. C’est dû à son habitude à camoufler la douleur de ses patients. Bien entraîné et compétant, il ne fait appel au betail quand temps de crise. C’est un homme d’une loyauté sans questions. Il ferait tout ce qui est nécessaire pour la sauvegarde de la tribu, même s’il y est pas né. Sur ce point la il peux largement oublier son honneur. Il ne prend un combat que s’il est sûr de gagner, non loyal. Le couteau dans le dos ou juste quelqu’un de bien plus faible que lui. Tel le harfang des neiges qui chasse le lemming. À moins que sous ses yeux il ne voyait aucune autre solution pour défendre la tribu. Malgré son offre de corps et âme pour sa nouvelle tribu, le passé hante son esprit. Il n’en parle jamais à quiconque et évitera le sujet si vous essayé de l’abordé avec lui. Moquez-vous de l’inceste dans sa famille et tout ce qui vous aurait c’est un mur en face de vous. Pourtant quelques points lui reviennent en tête : qu’il aurait dû être le chef de sa tribu, que sa sœur était à lui, etc. Il essaye de les ignorer avec grande difficultées… Il est victime d’hallucinations visuelles et auditives. D’un naturel froussard, ce qu’il voit dans ses délire l’effraye plus que tout. Il n’en à jamais parlé à qui que se soit. Conscient qu’il est le seul à voir ces horreurs. Il essaye de rester le plus silencieux possible et de garder le visage le plus neutre possible pendant ses crises. Chose extrêmement difficile. Pour l’instant ces crises sont très légères mais s’aggraveront avec l’âge.



Histoire




Dans la tanière de Gönevia, il y a fort long temps, vivait un homme… peu commode, très peu commode... Un excellent chasseur, l’un de ceux qui ramenaient le plus de têtes aux autres membres du clan. Nayati, « celui qui lutte », thériantrophe léopard des neiges. Bien que ses confrères lui soit reconnaissants ils ne l’appréciaient guère. Qui pourrait leur en vouloir ? Nayati était insupportable. Toujours de mauvaise humeur, à vous prendre de haut. Rien n’était parfait à ses yeux, incapable de dire quelque chose de gentil. Même un simple merci. Il était laissé de coté et ça lui allait très bien comme ça. Il était marié à la chaman des lunes de la tribu, Kachina, « danseuse sacrée », une tériantrophe renard des neiges. Autant dire desuite que ce n’était pas pour l’amour qu’ils étaient ensembles. C’était un mariage arrangé. Elle était douce, patiente et assez rusée, tel le renard des neiges qu’elle était pour savoir comment gérer son mari. Nayati n’était pas trop désagréable avec elle ou du moins il ne disait rien de négatif. Sans pour autant dire qu’il lui adressait la moindre gentillesse. Quel gentleman ! Leur union porta ses fruits mais avec un lourd prix. Kachina donna vie à une jolie petite fille : Winona, « première fille ». Mais seulement en échange avec sa propre vie.

Nayati dû s’occuper de la petite. Autant dire qu’il était un père plutôt étrange, ne sachant pas toujours comment s’y prendre pour élever un enfant. Mais ceci élargie ses perspectives et le rendit un peu plus doux. Changement très minime puisque cette douceur était seulement destinée à sa fille. Winona ressemblait beaucoup à sa mère. Pourtant elle possédait une beauté unique que sa défunte mère n’avait pas. Elle attirait beaucoup l’attention. Un petit phénomène en elle-même à cause de son père. De plus tout le monde attendait beaucoup d’elle. Elle devait être aussi douée que sa mère en temps que chaman des lunes. Elle développa le don et prit l’animal totem de son père : le léopard des neiges. Nayati était devenu très protecteur, voir trop. C’était devenu une obsession, une paranoïa. Il était éprit d’un grand amour pour sa fille et demanda aux anciens de le laisser l’épouser. L’idée révolta toute la tribu. Un vrai scandale. On essayait de lui retirer sa fille mais celle-ci resta aux cotés de son père. Elle répétait que cette union ne la dérangait en rien. Les anciens leur interdirent formellement de s’unir puis qu’ils étaient du même sang. Nayati ne voulait rien entendre. Il prit sa fille et parti avec elle en leur disant :

« Faibles imbéciles ! Vous n’êtes pas de vrais thériantrophes ! Vous vous liez aux lois des humains alors que vous devriez vous soumettre à la bête en vous ! »

Nayati emmena sa fille sur les flans de la montagne. Le territoire naturel des léopards des neiges. Il renia son nom et prit celui d' Ogami Zaltana, « chef des hautes montagnes ». Avec sa fille-pousse il se créa sa propre tribue faite de ses descendants où il était le chef et Winona la chaman des lunes. Tous prirent le léopard des neiges comme animal totem. La tribu Zaltana était nomade, vivant sur les flans de la montagne et s’abritant dans les diverses crevasses qu’offrait la roche. Ils évitaient le plus possible le contact avec toute autre forme de vie humanoïde. Ils ne les côtoyaient qu’en besoin de troc pour le nécessaire que la montagne ne pouvait leur donner. La tribu reniaient la loi des hommes et ne respectait que celle de la bête. Ceci autorisant les unions consanguines et les reversements de pouvoir par la force. Pourtant avec les nouvelles générations on pouvait distinguer une branche principale et des secondaires plus une fonction d’héritage par le sang. Système hypocrite pour des thériantrophes qui disent rejeter les lois des hommes. La tradition était qu’un homme épouse sa sœur et ensuite sa première fille. Tout chef s’appeler toujours Ogami, l’hériter à sa position de même. Toute chaman des lunes était obligatoirement une femme, nommé Winona et l’épouse du chef. Donc soit sa sœur ou sa fille. Tous se devaient d'être chasseur. Seul les jeunes enfants, la chaman et son apprenti étaient épargnés de la corvée. Cette étrange tribu avait une autre particularité. Certains membres des branches secondaires restaient constamment sous forme animal. Pendant leur apprentissage ont les laisser bloqués sous cet forme. Environ deux personnes par génération. On les nommait gardiens de la tribu. Un grand honneur.

Mais les péchés incestueux de cette tribu ne restairens pas impunie des esprits des ancêtres. Dés la première génération les naissances ce firent compliquées. Il y avait un très fort taux de mortalité à la naissance et pendant l’enfance dû à des complications. Et puis le froid n’aidait en rien. Ceux qui arrivaient à survivre n’avaient pas forcément toute leur tête. Victime d’hallucination visuelles et auditives, ils croyaient voir des monstres envoyés par le clan du sud par leur malédiction. Quand on ne comprend pas ce qui ce passe la réaction de base est de l’attribuer au surnaturel. La consanguinité de la famille avait provoquée une schizophrénie de ses membres. Ils racontaient entre eux leur hallucinations tel des histoires de guerre et combats héroïques. Ceci influença beaucoup les hallucinations suivantes. Homogénéisant leur vision morbide. Grâce à ce joli petit cocktail cette tribu ne dépassa jamais plus de 15 membres. C’est ainsi qu’ils méritèrent le surnom de « la tribu folle des montagnes ».

Tout prit une nouvelle tournure à la quatrième génération. Et pas forcément pour le meilleur.

Ogami Zaltana, quatrième de son nom naquit en début d’été. Plus petit que la normal et frêle, aux cheveux blanc et aux yeux gris. On s’attendait à ce qu’il meure dans les quelques jours à venir comme les cinq autres avant lui. Sa mère, Winona la troisième du nom, chaman des lunes et sœur épouse du chef, Ogami le troisième du nom, n’avait réussit qu’a procrer un seul enfant qui ai survécue avant celui-ci : Winona la quatrième du nom. Elle avait déjà 8 ans lorsque le quatrième Ogami vint au monde. Elle était destinée à être la prochaine chaman des lunes et à donner une descendance à son petit frère et à son père. Deuxième après sa mère à prendre le nouvel enfant dans ses bras, elle l’aimait déjà. Le nouveau Ogami Zaltana était à elle et à personne d’autre. L’enfant grandit lentement mais sûrement. Il n’était pas très bavard mais déjà très loyale et obéissant. C’était un faible et un trouillard, toujours à ce cacher dans les jupes de sa mère et de sa sœur. Il était terrorisé lorsque les adultes étaient victime d’hallucinations et la chasse ne lui plaisait point. Son père le forçait à garder ses cheveux très court, lui répétant sans cesse que seul les femmes devaient porter les cheveux longs. Il le brusquait sans cesse pour être un guerrier, un chasseur, un homme, un vrai. Il ne voyait en son fils rien d’un futur chef de tribu. Sa mère calmait toujours les ardeurs de son frère époux. On attendait beaucoup de lui. Il se devait de prendre le léopard des neiges comme animal totem. On lui ordonné de prier et de vénérer cette animal. Il obéissait mais n’y mettait jamais son cœur. Il n’arrivait à rien avec cet animal totem. Rien, nada, niet. Ogami avait un autre animal qui lui tenait plus à cœur.

À chaque fois que la tribu devait ce déplaçer ils devaient grimper sur les parois de la montagne. N’importe quel déplacement. C’est ça vivre sur le terrain naturel du léopard des neiges. Ogami en avait une trouille bleue. Il glissait très souvent parce qu’il avait du mal à bien s’agripper à la paroie. Il lui arrivait souvant de tomber et de se casser quelque chose. Sa mère lui retiré sa douleur à chaque fois, bénissant le ciel qu’il soit encore en vie. Lorsqu’il se fesait assez mal pour qu’il ne puisse plus marcher on le portait et il regardait vers le ciel et vers l’horizon. Le petit regardait les rapaces dessiner des cercles dans le ciel, les vols migratoires et la taïga dans la vallée. Lisse, plat, calme, infini. Il admirait les oiseaux, les vénéraient comme une icône, un symbole de liberté. Si seulement il pouvait voler il n’aurait plus jamais à gravir ces parois meurtrières. Il ne voulait pas être dans ces montagnes. Il voulait voler à travers cette taïga.

Le quatrième couple de futurs dirigeants de la tribu ne répondaient vraiment à aucun des critères demandés. Cet Winona était beaucoup trop guerrière pour être chaman des lunes. Beaucoup trop violente et insensible à la douleur des autres. Elle ne voulait absolument pas devenir chaman et n’entraînait absolument pas son don. Son père ne voulait rien entendre et la battait tout les jours pour l’habituer à la douleur en guise d’entraînement. Cela retournait les tripes de son héritier de voir sa sœur traitée ainsi. Cette violente jeune fille était extrêmement possessive de son frère fiancé et lui montrait déjà des signes d’affections. Rien de bien méchant : Câlins et baisés. Ogami, ça ne le gênait en rien. Il aimait bien sa sœur sans que se soit de l’amour. C’était juste quelque chose de normal pour lui. Il était encore beaucoup trop jeune pour comprendre ces gestes.

Mais Ogami n’était pas au bout de ces malheurs et problèmes en temps qu’héritier. Le petit avait 7 ans et s’ennuyait sur le bord de la nouvelle grotte. Il était dispensé de suivre les autres à la chasse parce qu’il s’était encore cassé le bras. Il regardait le ciel, cherchant des oiseaux des yeux lorsqu’il entendit une plainte, un couinement répété. Curieux il se dirigea vers la source du bruit et trouva un jeune lapin. Il semblait blessé et effrayé comme s’il frôlait la crise cardiaque. Vue les décombres il avait dû lui aussi dégringoler le flanc de la montagne et s’était fait mal. Ogami eut pitié de la petite chose et la prit sur ses genoux. Le petit lapin était en trop mauvais état pour fuir et était terrorisé. L’enfant caressa la petite boule de poile et trouva qu’elle s’était brisé des cotes. Il voulait aider la pauvre bête. La voir effrayée et en souffrante comme ça lui fesait mal au cœur. Il le sentait sous ses doigts. Cette blessure devait être insupportable. Il voulait qu’elle n’ai plus mal. Lui prendre sa douleur. Autant dire qu’il ne s’attendait pas à ressentir cette douleur perçante dans son torse. Il se mit à hurler et à pleurer tellement il avait mal alors que le lapin parti à toute vitesse. Ogami se traîna à sa mère en pleurant et chouinant. Elle prit la douleur sur elle-même et le petit lui expliqua ce qui lui était arrivé. Elle lui fit juré immédiatement de ne jamais raconter cette histoire à qui que ce soit sans lui donner d’autre explications sur le coup. Ogami fit la promesse. Il avait le don de sa mère. Si jamais son père apprenait qu’il avait le don, ce pouvoir de femme, il entrerait dans une furie sans précédant. Sa mère lui expliqua ensuite ce qui lui était arrivé. Il fut très curieux sur la fonction de chaman des lunes et voici ce que sa mère lui répondit :

« La chaman des lunes est l’un des pilliers de la tribu. Elle est là pour rassurée. Ils savent tous qu’ils peuvent suivre leur chef en toute confiance parce que même si tout tourne pour le pire la chaman sera toujours là pour les sauver, pour leur retirer la douleur. Une des plus grande peur est la peur de la douleur. La peur est ce qui peu amener la discorde et la trahison. Avec la chaman des lunes cette peur peut disparaître. C’est un rôle constant. Même quand elle n’est pas demandée elle doit paraître forte, calme, mystique et en contrôle. Même dans l’agonie la plus total elle ne doit jamais rien laissé paraître, jamais. »

Elle lui expliqua comment faire fonctionnait son don mais le découragea de le perfectionner. Car il le regretterait amèrement si son père apprenait qu’il développait un don de femme. Elle lui enseigna aussi qu’il ne fallait jamais donne sa propre douleur qu’en cas de survie et que de garder la douleur des autres pouvait se transforme en une arme de défense redoutable. Le chef de tribu pouvait aussi en faire usage en donnant la question à un autre. Ogami fasciné par ce pouvoir s’entraîna avec malgré l’avertissement de sa mère ; pendant que son père mettait sa sœur enceinte. Elle n’avait que seize ans.

Quand le petit avait presque neuf ans l’atmosphère était très tendue. La tribu était redescendue à dix individus dont deux étaient des gardiens. La chasse se fesait très mauvaise et les adultes étaient de plus en plus victime d’hallucinations. Même Winona, enceinte de trois mois, commencait à en avoir. Ogami n’arrive toujours pas à répondre aux attentes de son père qui commencait à perdre patience. Il était clair qu’il ressentait un mépris profond pour son fils. Un soir il convoqua toute sa tribu et appela son fils à se présenter devant lui, l’air sévère et grave. Regardant l’enfant de haut, il lui annonça ses quatre vérités. Qu’il était un lamentable chasseur et guerrier, un trouillard qui se cachait dans les jupes de sa mère, un faible. La chaman essaya de le raisonner. L’enfant n’avait même pas encore neuf ans. Il ne voulait rien entendre et donna à sa sœur épouse pour seul réponse une belle droite. Il annonça ensuite qu’il était au courant du pouvoir de l’enfant et que de fait il le reniait. Lui retirant son nom et le bannissant de sa tribu, déclarant que le fils que Winona lui donnerait sera son héritier. Cette dernière entra dans une rage folle. Hurlant qu’Ogami était à elle et à personne d’autre. Elle arracha son médaillon qu’elle donna à son frère, le poussant en arrière avant d’attraper un glaive pour se lancer dans un massacre. Une vraie boucherie, un bain de sang. Ogami terrifié, parti en courant sans jamais se retourner.

L’enfant quitta la montagne pour la taïga dont il avait tant rêvait. Sanglotant, les mains serrées autour du collier de sa sœur. Perdu et effrayé, il marcha aussi loin des montagnes qu’il pouvait sans dormir de la nuit. Mort de fatigue et de froid, au levé du premier soleil, il tomba nez a nez avec un harfang des neiges. Un mâle blanc aux grands yeux orange perçant, le regardant fixement, illuminé par ce soleil levant. Ogami avait trouvé son animal totem, il n’y avait aucun doute. Ses yeux prirent exactement la même couleur. Il continua à marcher, essayant de survivre sur des racines, trop mauvais chasseur pour arriver à attraper quoique se soit. Il marcha pour 3 jours avant de s’effondrer dans la neige. Il fut trouvé par des chasseurs dEsmerin qui le ramenére à leur tribu. Ils l’accueillir et lui offrirent une place à leur table et sous leur toit. Apres tout avec un tel froid, les enfants était chose rare. On lui demanda ses origines. On lui rit au nez, lui donnant une vision de ce qu’était une vrai famille. Le tout fut très dur pour l’enfant de neuf ans. Ogami ne fut pas intégré à la tribu. Il avait bien essayé de faire une offrande aux ancêtres. C’était bien vue et rien de plus. N’ayant rien à faire de ses jours il se donna à la maîtrise de son animal totem, étant bien en retard par rapport aux autres enfants de son age. Il prit aussi le temps d’entraîner son don mais en se méfiant beaucoup plus que la dernière fois, le pratiquant dans le secret le plus total. S’il voyait à nouveau un massacre tel que celui qu’avait déclanché sa sœur il voulait pouvoir recoller les morceaux à la fin. Il s’entraîna jusqu'à ses quinze ans avant d’avoir une opportunité de vraiment tester son pouvoir.

Une chasse avait tournée au pire, un des chasseurs s’était retrouvé au mauvaise endroit au mauvais moment et piétiné par un troupeau de cerfs effarouchés. Il était vraiment en mauvaise état et le chaman de la tribu ne pouvait s’occuper de lui, trop prit par la chef qui était gravement malade. Ogami y vit une chance pour repayer la tribu de leur hospitalité. Il Se faufila dans la hutte où était gardé le jeune chasseur. Thériantrophe renard, Elirël Sigrïn. C’était la première fois qu’il utilisait son don sur quelqu’un. Jusque là il n’avait fait que sur du betail. Il avait du mal à supporter toute la douleur mais il parvient à tout prendre, tout. Autant dire que ses gémissements de douleur mirent un terme à son secret. Chose surprenante, tout le monde lui était reconnaissant d’avoir sauvé l’un des leurs. Il fut enfin intégré à la tribu et se lia d’amitié avec le renard. De plus le chaman eu vent des faits et proposa à Ogami de devenir son apprenti. Il accepta sans attendre.

Il suivit ses enseignements et fit des progrès surprenant. Le vieux chaman était plutôt fier de lui et prêt à lui passé le flambeau s’il était prêt à passer les rites nécessaires. Ogima accepta avec honneur et modestie. Il dû se flagellait jusqu'au sang en public pour prouver que la douleur n’est rien pour lui, se baigner dans le sang d’un cheval pour se purifier et donner en offrande quelque choses d’important à ses yeux. Il offrit le pendentif de sa sœur fiancée, coupant ainsi définitivement tout les liens qu’il avait avec son ancienne tribu : Zaltana, « La tribu folle de la montagne ». Depuis ses 18 ans, il est Ogami Zaltana, Chaman des lunes de la tribu d’Esmerin.

Mais les pêchés de sa famille l’ont suivit, les démons l’ont retrouvé...





Hrp

Code: Validé par Arren
Comment as-tu trouvé le forum? Arren me l'a montré
As-tu des commentaires: Magnifique Graphisme et monde avec une grande diversité! J’espère que je ne vais pas m'y perdre! Oh, et je suis dyslexique et possède un clavier qwerty.
Veux-tu un parrain/marraine? Tu veux bien de moi Eli? Ou t'ai je trop dérange a la creation de mon perso? xD



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Kalyäh Taliësin
Chef du Clan du sud
Kalyäh Taliësin
Messages : 1143

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MessageSujet: Re: Ogami Zaltana the 4th[Validée]   Ogami Zaltana the 4th[Validée] EmptyMar 14 Aoû - 18:49

Tout a été dit sur la CB, je te valide donc sans plus tarder! Bienvenue dans le nord et bon Rp Smile
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