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 Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT

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Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT Empty
MessageSujet: Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT   Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT EmptyMer 23 Mai - 10:13

Prénom & Nom: Daniel Roderik Stark
Sexe: Masculin
Âge: 31
Race: Thériantrophe (Loup)

Groupe: Clan du Nord
Rang: Chef de Gonëvia
Métier: Artiste (Peintre)

Description physique:
Je ne saurais vous décrire la subtile beauté de Daniel, un homme dont les charmes et l'apparat font de lui un bourreau des cœurs mais également un simple bourreau. Une stature assez imposante de par son sang de Thériantrophe, il est relativement petit comparé aux autres de sa race et atteint avec aisance un bon mètre quatre-vingt. Son teint finement halé lui sied à ravir, se balader torse nu lui a permis d'acquérir cette peau. Et par cette peau, je parle également des quelques cicatrices qui bordent le corps robuste de ce parangon de virilité. Quelques éraflures, des marques plus sérieuses sur le torse, signes d'escarmouches et de rixes passées. Il n'est pas de meilleure maitresse que l'expérience et cette dernière se fait au gré de la lame qui parcourt les chairs et rompt les os.
On pourrait voir en lui les prémices d'un barbare,d'un rustre, d'un guerrier abrupt et mal dégrossi des contrées du nord les plus reculées et les plus sauvages mais il n'en n'est rien. Si en effet Daniel a appris la survie, il s'agit plutôt d'une survie mondaine : ses atours somptueux qui lui donnent cet aspect aventureux sont en réalité cousu dans un tissu onéreux réputé par les commerçants des mers occidentales. Une femme ne saurait s'y tromper.
Une fois que votre regard s'affine, il peut remarquer quelques détails intéressant. Un corps sculpté pour la joute et la luxure, des muscles saillants, huilés et imposants. Des cuisses qui indiquent un entrainement martial, ou les folles nuits passées à courir. Probablement derrière une femme ou a la conquête du monde. Un visage marqué par la joie, la solitude, un visage marqué par la vie.Il m'est difficile de faire l'impasse sur le mignon minois de Daniel. Des traits forts et masculins qu'une longue chevelure tend à adoucir de par son aspect soyeux. De longues mèches parsèment le visage du bretteur, des mèches qui cachent rarement les prunelles bleutées de ce Casanova fougueux. Un sourire narquois, l'arrogance d'un regard effronté et la langue d'un persifleur. D'ailleurs il a payé cette beauté au prix fort : une fine entaille parcourt son œil droit de part et d'autre. Un menton assez prononcé doté d'une légère fossette, un héritage paternel il semblerait.

Le dévoreur de monde, l'incarnation même de la cruauté et de la bestialité, forme impie blasphématoire d'un passé révolu, d'un futur qu'on espère ne jamais rencontrer : sous son apparence animale, Daniel n'a de séduisant que le souvenir qu'on s'est fait de lui. Un vrai prédateur au pelage noir et aux yeux scintillants dans la pénombre, un regard croisé une seule fois avant de périr sous le joug de ces canines monstrueusement puissantes. Sa force physique est incroyable sous sa forme humaine mais lorsqu'il déchaine le courroux de la "Bête", ses puissants muscles lui permettent de déchiqueter chair, os et même l'âme si tant est qu'elle existe. D'un bond, il peut se frayer un chemin dans les airs. Son feulement est souvent annonciateur de mort, il est perceptible par la plupart des Thériantrophes.

Le regard vif, malicieux, ce sourire qui cache de la tristesse et la vacuité d'une vie spoliée par un antique débris de prophétie mal venu : c'est ce qui fait tout son charme.


Spoiler:


Description psychologique:

Élégant, serviable et tout à fait charmant. Voilà ce que vous diront les femmes. Bestial, dangereux et tout à fait fou : voilà ce que vous diront les hommes. Quant à ceux qui le connaissent bien, ma foi, ils vous diront qu'il est tout cela à la fois sans réellement l'être non plus.
D'un naturel aventureux, il n'a jamais pu tenir en place depuis son plus jeune âge malgré son appartenance à la tribu du Nord qui est d'ordinaire craintive. Mais élevé loin des siens, il a su communier avec son animal totem Le Loup avec lequel il partage de nombreux points communs. La chasse est surement le passe-temps favori de Daniel. Et par chasse j'entends bien sûr tout ce qui se rapporte à un jeu entre le prédateur, Daniel et sa proie. Que ce soit la conquête d'une femme, la recherche d'une antique relique ou d'un fabuleux trésor, ou encore la poursuite d'un fuyard que l'on transforme dès lors en petit jeu. Ce qu'il faut absolument retenir de cet homme, c'est son potentiel à devenir un danger à tout moment.
D'un côté, je peux vous présenter le noble Daniel R.Stark, descendant d'un lignage de totem animal puissant et illustre artiste peintre. Un homme respectable, respecté et respectueux. Poli, galant et bien élevé, il fera le bonheur des demoiselles et des personnes de bon goût lors d'une réception. Le même qui dirigera avec fierté et honneur ses hommes car pour lui les valeurs sont des institutions fondamentales de notre ordre. Passionné d'art, il a eu la chance de voir du continent et d'apprendre bien des choses au cours de sa vie. Riche d'une expérience hors du commun, il est un compagnon de discussion fabuleux et manie les mots comme aucun autre.
De l'autre côté, vous aurez peut-être le malheur d'entrevoir le terrible Daniel R.Stark, le chasseur, le prédateur, le malin. Un homme névrosé, écrasé par la fatalité d'un terrible destin, prêt à tout pour atteindre son but, capable des exactions les plus ignominieuses et d'une cruauté sans borgne. Exécutant sommairement, sans vergognes, ses adversaires, quiconque s'oppose à lui tâtera du glaive et de la griffe. Rusé, sournois, il n'hésitera pas à vous mentir, vous extorquer ce qu'il souhaite par des menaces, usant même de la force contre plus faibles que soit. Mû par ses pulsions meurtrières, la violence fait également partie de son quotidien au même degré que la lecture ou le batifolage. Sous sa forme d'animal c'est un tout autre problème : la plupart du temps il est atteint de graves crises qui l'empêchent de réfléchir et il se jette corps et âme la bataille, prêt à en découdre jusqu'à ce que seul un survivant se tienne debout à la fin de la chasse.

Car dans ce monde, nous sommes des bêtes. Et dans le monde des bêtes, la plus forte d'entre toutes a le droit de vie ou de mort sur ceux qui constituent son monde. Dans son monde, c'est la loi du plus fort qui prime.


Histoire:












Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT Fenrirflatbyirukathesla



Chapitre I : De la naissance de l'enfant maudit à son abandon


Le dévoreur de monde, la bête noire, l'émissaire de la fin. Autant d'épithètes pour ne décrire qu'une seule et unique créature : Daniel. Ou plutôt l'animal totem qui est le sien. Alors que la race était encore jeune, sous la seconde dynastie, des textes font état d'un monstre furieux qui dévasta le nord de l'actuelle Lathorie. Cette bête qui fait désormais office de légende était symboliquement représentée par un loup au pelage de jais et aux prunelles dorées. Les Thériantrophes du Nord sont friands de ce genre de légendes qui font état de leur statut maudit. Avec le temps, la légende fut oubliée par la plus grande partie puis finie par disparaitre.
Les siècles passèrent et nous voilà quelque part au Nord, sous la direction de Roland Stark, chef incontesté de la tribu de Gonëvia. Sa femme attend un enfant, un garçon d'après les estimations de la sage femme. Si le conseil et le peuple le désirent, alors il héritera de la place de son père. Voilà les projets que tenait Roland pour son héritier. Seulement le destin en décida autrement : quelques semaines avant la naissance de l'enfant, le prophète de la tribu vit son état mental s’aliéner au plus haut point. Ses visions se faisaient plus brutales, moins espacées et plus précises : il rêvait le retour de la Bête ! Et ce monstre marqué du fer divin et banni du royaume des cieux avait décidé de se réincarner en l'héritier de Roland, le nouveau né Stark à venir.
Jusque là, je ne crois toujours pas à cette fable. Si Daniel possède en effet une force hors du commun, elle n'en reste pas moins limitée et il peut lui même vaciller. Pour que la boucle soit bouclée et que la prophétie fasse plus réaliste, le voyant déjanté prédit l'avenir dans les années à suivre. Si l'enfant n'était pas abattu à sa naissance, il viendrait réclamer le trône de son père par le sang ! Pris de terreur, horrifié par cette révélation, le chef ne savait plus quoi penser. Après s'être enfermé avec ses proches sans en avertir sa femme, c'est à dire avec son ambitieux général, son maitre d'arme dégénéré et son frère désireux d'occuper sa place, il conclut que le meilleur restait de condamner son fils dans l'intérêt général. Cette décision qui laissait le chef sans héritier plaisait grandement au général et au futur oncle de Daniel.
Le soir de sa naissance qui fut un jour plus funeste que joyeux, Roland ne pu se résoudre à occire son fils de son glaive et par lâcheté, il délégua cette tâche à son frère. Lui même n'ayant pas le courage de pourfendre un enfant, il décida de l'abandonner au bord d'une clairière qui jouxtait l'actuel campement du clan du nord. Ces derniers décidèrent de quitter les lieux et l'enfant resta là. Cet enfant qui aurait dû mourir il y a de cela 30 ans survécu, miracle ou œuvre malicieuse du destin, je ne saurais trancher. Mais toujours est-il qu'il aura ce qu'aucun de sa tribu n'a jamais eu : des tripes.


















Chapitre II : De la découverte de Daniel par Cédric à son abandon, une seconde fois !

Les rayons des deux soleils de Merak illuminaient le visage radieux de cet enfant. Sa voix faisait déjà frémir la forêt, les animaux se réunirent autour de son maigre corps pour célébrer avec joie la naissance de l'un des leurs. Ses pleurs attristaient les habitants de la forêt. Les oiseaux s'époumonaient à lui chanter une berceuse, les sangliers tournoyaient autour de lui pour l'apaiser. Rien n'y faisait, l'enfant ne voulait pas arrêter ses cris.
La venue d'un homme changea l'atmosphère, rapidement les pleurs devinrent sanglots puis simples reniflements. Un homme portant une toge blanche, svelte et âgé. Une fine barbe blanche se tissait jusqu'à son abdomen, des rides traçaient son visage malgré un œil espiègle. Ce dernier le rendait plus malin, à la limite du vice. Alors dans un silence absolu, il prit l'enfant dans ses bras et le leva au ciel dans un geste triomphal : cet enfant sera sien.

- Daniel ... C'est un joli nom pour une brute du nord, non ? Les cris de l'enfant faisaient office de réponse. Alors oui, tu seras Daniel à présent.

Et c'est ainsi que l'ermite Cédric veilla sur l'enfant pendant une dizaine d'années ! Il lui donna un nom, lui apprit à communier avec son animal totem ainsi que l'art de la chasse. C'est en sa compagnie qu'il développa ses facultés intellectuelles. Mais un jour, alors qu'ils chassaient dans la forêt sous leur forme animal, ce vieux grigou de Cédric vit son protégé trébucher et chuter du haut d'un roc qui surplombait la dense forêt :

- Sapristi ! Voilà ma seule famille qui s'envole !... Tant pis, j'aurai vite fait de trouver un nouvel enfant abandonné que de retrouver celui là !

Et il s'en alla, laissant le pauvre Daniel à son triste sort, plus bas dans la forêt. Malgré une chute impressionnante, les dégâts furent moindres. Les branches avaient freinées sa terrible descente. Alors qu'il se remettait avec difficulté de sa chute, et qu'il tentait de se relever, il sentit un terrible regard se poser sur lui. Un homme d'une statut impressionnante le toiser avec une haine viscérale et terrifiante. Daniel sentit immédiatement le danger et se rendit à l'évidence : il ne pouvait plus se transformer en loup donc il était voué à perdre cette confrontation. Alors qu'il frémissait d'impatience à l'idée d'affronter son premier homme, ce dernier lui dit :

- Qui es-tu petit ?

Daniel le toisa à son tour, il ne vit au premier abord rien de dangereux sur l'homme si ce n'est ce regard menaçant qu'il arborait. Ses traits rudes, sa composition maigrelette et ses vêtements amples ne trompaient pas le jeune Daniel. Cédric lui avait parlé de ce genre d'hommes, des épéistes à la recherche de combat et de sang. Alors qu'il le jaugeait toujours, le jeune enfant vit une lame sortir d'un fourreau qu'il n'avait pas remarqué et se déposer sur sa paume d'Adam. Alors qu'il suait à grosse goute, il entendit son interlocuteur répéter :

- Qui es-tu petit ?

Un sourire narquois aux lèvres malgré la situation, il lui répondit non sans mal :

- Da...Daniel.

L'homme à l'épée la rengaina avant d'ajouter :

- Très bien petit, si tu veux apprendre la voie de l'épée, je te conseille de me suivre.

Les cris d'animaux sauvages, la densité de la forêt et la perte de son ancien tuteur précipitèrent le choix de Daniel. D'ailleurs, pouvait-on parler d'un choix ? C'est avec un sentiment de mélancolie et de fierté que le jeune homme sauta sur l'occasion et suivit ce bretteur hors pairs.














Chapitre III De l'enseignement du maître au départ de Daniel

Daniel suivit alors ce maitre d'armes exceptionnel du nom d'Ares, un nom peu commun dans la région mais après tout, que connaissait le jeune enfant du monde qui l'entourait ? Son maitre lui enseigna l'autre pendant des choses, la mort, la cruauté et la vilénie des hommes. Il lui apprit comment s'en méfier, comment la combattre. L'entrainement de l'enfant dura 6 ans, jusqu'à ce qu'il atteigne quasiment ses 17 ans. Il était maigrelet, avait les joues creuses et les bras rances mais se portait déjà avec prestance. Il y avait là une ébauche du grand guerrier qu'il deviendra par la suite. Un jour alors qu'il portait l'eau à son maître, et qu'il venait d'abattre froidement un homme qui venait défier ce dernier, il lui posa cette question :

- Pourquoi un homme tel que vous, mon maître, ne vit pas dans une maison coûteuse entouré de domestiques ?


Les années n'avaient pas épargnées Ares dont le visage restait tout de même ferme. Alors qu'il allumait son calumet pris à des indigènes d'une région plus au Sud, il répondit à Daniel avec ces mots :

- Une lame qui reste à l'air libre s'émousse, elle a besoin d'un fourreau. Cette forêt est mon fourreau. Mais si je vivais dans le fourreau que tu me décris, alors jamais la lame ne sortira de son fourreau et une lame qui semble trop neuve est une arme qui n'a jamais servie et qui ne servira jamais.


Daniel ne semblait pas satisfait par la réponse apportée. Et avant même qu'il ne puisse rétorquer quoi que ce soit, son maitre poursuivie :

- Pourquoi apprends-tu auprès de moi Daniel ? Tu souhaite une vie faite de luxe, de plaisirs et de vanités ? Ou bien recherches-tu à travers ta lame le vrai paradis sur terre ?

Un fin sourire se dessina sur le visage de Daniel qui connaissait parfaitement la réponse à cette question :

- Moi ? J'apprends avec toi juste pour chasser tout ce qui vit sur terre. Mon ... "fourreau" n'est qu'un vaste terrain de chasse, un prétexte pour faire de moi le prédateur ultime.

Un silence flotta en l'air puis les deux hommes se mirent à rire ensemble. Finalement, c'était là deux marginaux qui vivaient coupé du monde et n'existaient que pour trancher tout ce qui les entourait. Daniel ne pensait pas que les jours heureux arrêteraient aussi vite.

Alors qu'il revenait de la chasse et jubilait déjà de montrer son trophée à son maître, il le retrouva gisant sur le sol et baignant dans son propre sang. Daniel ne se retint pas un seul instant et le cri de la bête se fit entendre partout dans la forêt. Un feulement de haine et de colère émergea de son corps d'homme, une tristesse inouïe se fit sentir dans sa voix. En surplomb du corps de son défunt maître se tenait un vieillard accoutré d'une longue veste de satin, d'un pantalon de cuir le tout retenu par une lanière en soie. Ce vieil homme, Daniel n'oublia jamais son visage :

- Cédric ?!

En effet, vêtu tel un pirate il se dressait là devant lui. L'homme qui lui avait enseigné la vie et la maitrise de son totem. Avant même qu'il ne puisse se ruer sur lui pour venger son maître, le vieil homme bien plus souple qu'il n'y paraissait parcourut la distance qui les séparait et le tint en respect d'une seule main qui étreignait son cou :

- Un peu maigre mais je tirerais un bon prix de toi ...

L'air n'affluait plus dans les poumons de Daniel, il sentait la froide étreinte de la mort qui le serrait un peu plus fort à chaque instant, c'en était fini pour lui.

















Chapitre IV : De sa vie d'esclave à sa terrible vengeance


Alors qu'il avait du mal à reprendre conscience, Daniel se rendit vite compte de la situation : il était enchainé tel un animal. Avec peur, il tournait sa tête dans tous les sens pour essayer d'analyser le moment et en tirer quelques conclusions. Un sol de bois, des mouvements étranges, une humidité déconcertante. C'était surement la cale d'un bateau. Autour de lui il y avait de nombreux jeunes hommes et quelques femmes à peine pubères. Il ne fallut que quelques secondes à son vif esprit pour comprendre ce qui se passait : il était entre les mains d'un marchand d'esclaves ! Cédric surement, ou alors servait-il uniquement d'intermédiaire en élevant les enfants ? Combien d'autres enfants élevait-il en même temps que Daniel sans même qu'il s'en rende compte ? Tant de questions qui assaillirent l'esprit du jeune homme encore trop faible pour se remettre complétement de sa défaite éclair.

- Vous avez bien dormi les enfants ?


Cette voix ... Daniel la reconnut sans peine et il souleva alors le menton pour toiser du regard l'infâme bâtard qui l'avait enchainé ici comme une bête. Il sentait en lui la rage monter, ce traitre qui a tué son maître, qui lui a tout pris. Il poussa un hurlement qui fit frémir les autres esclaves et se rua sur Cédric. Avec une force exceptionnelle il réussit à tendre la chaine jusqu'à son extrême limite. Un simple mètre séparait les deux hommes. Le pirate fit un pas en avant et Daniel abattit son bras dans l'espoir de l'écorcher mais cela échoua car d'un savant pas, le pirate esquiva l'attaque et enfonça avec mépris son pied dans le visage de Daniel. Ce coup porté avec la puissance de toute une jambe l'envoya valser contre le mur de cale :

- Je vois que tu es toujours aussi grognon au réveil Daniel.

- Je vais ... te tuer ... raclure ...

Cédric éclata de rire, en tant que pirate qui faisait du commerce de jeunes adultes et d'enfants brisés, il avait dû entendre cela un bon nombre de fois dans sa vie. Il toisa une nouvelle fois le jeune avant de lui dire :

- Très bien, tu sera le prochain coq de Vladimir.

C'est ainsi que Daniel fut vendu à quelques lieux de là à un homme du nom de Vladimir qui organisait dans son gigantesque château, perdu dans une île enneigée entre la terre des pirates et celles des gens de bien, des combats sensationnel. Ironie du sort ou non, Daniel se sentait assez heureux d'être là même s'il ne pouvait oublier la douleur que la mort de son maître ravivait chaque jour en son sein.

C'est ainsi que le jeune Daniel devint gladiateur pour Vladimir durant quelques années, approximativement 4 ans. L'homme le traitait bien, il ne nourrissait convenablement et le laissait s'entraîner comme à son habitude et avec des maîtres réputés venus de tout le continent. Mais cela ne remplaçait absolument pas son maître et rapidement il devint hautain de part sa puissance qui n'avait d'égale. Son goût prononcé pour la chasse et le sang crût de jour en jour. Daniel devenait parfois instable si il ne se battait pas durant plusieurs jours. Et il avait du mal à contenir son animal totem qui parfois se manifestait en pleine journée et déchiquetait ses vêtements ainsi que les gens autours. Il vivait difficilement cette période de trouble. Mais imaginez ce qu'il ressentit lorsqu'il entendit des rumeurs concernant Cédric sur l'île. Il serait de retour avec un nouveau coq de combat exceptionnel. Un sourire mauvais aux lèvres, Daniel alla rendre visite à son maître Vladimir et lui dit de façon honnête :

- Laissez moi combattre ce nouveau venu, celui qui triomphera aura le droit au titre de meilleur gladiateur dans votre arène.

Et Vladimir accepta la proposition qui lui sembla incroyable ! La foule allait se presser de tout le continent pour voir ce combat mémorable. Les habitués viendraient et ce sera l'occasion d'attirer une noblesse méprisante à la recherche de combats sanglants.

Quelques jours passèrent lorsque le petit nouveau du nom de Steve se présenta dans l'arène, il venait d'abattre sans difficulté un taureau à main nu. C'est à ce moment que Daniel fit son entré en scène. Les deux hommes échangèrent un regard qui montrait leur respect mutuel. Steve proposa un combat à main nu ce que Daniel accepta malgré qu'il se sente plus à l'aise une arme au poing. Le combat dura quelques minutes durant lesquelles le nouveau venu avait largement l'avantage. Mais sous les yeux ébahis de la foule, Daniel commis l'irréparable pour un gladiateur, il brisa les règles.

Il se saisit d'une lame brisée qui gisait là sur le sol et s'en servit pour trancher la carotide du malheureux dont le sang giclait à foison. Ses cris incessants appâtaient la bête en Daniel mais pour ne pas se déchainer sous les yeux de ces gens, il arracha avec brio la langue de son adversaire qui céda au trépas et glissa lentement vers le sol de sable de l'arène, baignant dans son propre sang. Cette nouvelle vision d'horreur instaura un silence de mort dans le Colisée, la vue de cette viande morte en sang lui rappela son défunt maître. Puis une vive clameur saisit la foule qui applaudit le vainqueur : dans une vrai combat à mort, il n'y aucune règle !

Vladimir vint le féliciter en personne et lui proposa de prendre du repos. Daniel s'exécuta mais il avait un tout autre plan en tête ! Saisissant dans sa chambre les quelques affaires qui lui restaient, il se rua vers le bateau encore amarré de Cédric en pleine nuit, sous les yeux luisants des trois lunes. Le bateau mit les voiles alors que le jeune homme s'introduisait dans la chambre du capitaine :

- Surprise.

Cédric, un morceau de viande dans la bouche, se retourna avec stupeur. Et sous les yeux écarquillés de l'homme qui lui avait tout pris, Daniel enfonça avec haine sa main dans sa bouche pour lui en arracher la viande qui y restait : sa nourriture et sa langue. Incapable de demander du secours, l'homme se précipita vers son agresseur pour lui planter un couteau en plein crâne. Mais dans une si petite pièce il ne fut pas difficile pour Daniel de saisir le bras du pirate. Il lui asséna quelques coups de genou au torse et lui tordait le poignet jusqu'à ce qu'il lâche le couteau. Une fois cela fait, il lui porta un violent coup de pied sur son genou ce qui lui brisa et obligea Cédric à s'incliner face à la Bête. Le regard suppliant du marchand d'esclave croisa le sourire cruel de Daniel qui présentait une bouche pleine de dents prêtes à mordre, un sourire carnassier, celui d'un prédateur. Et sous l'égide de ces fabuleuses lune, Daniel abrégea les souffrances de son ennemi avec hargne en se saisissant de son cou qu'il rompit à la seule force de ses deux mains avant de se rendre compte qu'il venait de l'achever trop tôt :

- RAAAAAAAAAH !

Ce cri de désespoir fut celui d'un homme qui aurait aimé torturer encore pendant plusieurs heures ce traitre. Mais il venait de mettre fin à ses jours. Celui qui a porté une blessure fatale peut connaitre le pardon dans la mort mais celui qui vit avec cette blessure, il doit la porter chaque jour. Attristé par ce constat, Daniel se rendit compte que l'équipage venait d'ouvrir la porte de la chambre du capitaine. Le premier marin à l'avoir ouverte écarquilla les yeux en voyant pareille scène sous ses yeux : son capitaine gisait inerte sur le sol, marinant dans ce liquide rouge qui se retrouvait sur le visage et les mains de Daniel. Quelques larmes s'étaient mélangées au sang de Cédric. C'était là la fin d'une épopée ...

Pas vraiment. Dans un élan de folie, Daniel bondit hors de la chambre en repoussant les matelots au moyen de ses bras puissants puis après avoir traversé le pont sous les yeux ahuris des hommes de Cédric, il décida sans hésiter de plonger en plein milieu de la mer. C'est là le dernier souvenir qu'il avait de cette journée.
















Chapitre V : De sa vie de bohème à sa mise à mort.


Sauvé de la noyade par un couple de paysans bienveillants non loin de Fejuar, sur les côtes d'Archenior, Daniel se rendit vite compte qu'il n'avait ni but ni endroit où aller. Il décida de rester avec ces gens qui lui avaient sauvé la vie en le repêchant, pour quelques temps au moins. Il se sentait bien, à l'aise, et fort heureux. Sa vengeance accomplie il sentait l'esprit vindicatif du loup apaisé. Sa soif de sang s'était calmée pour le moment. Le vieux paysans possédait un atelier où il aimait peindre à ses heures perdues. Daniel s'y exerça à son tour, après tout il avait vu de très belles peintures chez son ancien propriétaire Vladimir. C'est ainsi qu'il découvrit son talent inné pour la peinture et que le paysan qui l'hébergea durant ces mois là l'exhorta à aller en ville pour vendre son travail. Daniel fit ses bagages et s'en alla pour la ville. Après quelques jours à errer sans but dans les tavernes et les bordels du coin, il réussit à trouver des acheteurs et au bout d'un mois, il réussit à se faire un nom dans la ville. Les femmes venaient se faire peindre et les hommes demander des tableaux pour leurs bien aimées. C'était un moment de calme dans la vie au rythme effrénée de Daniel. Mais ce dernier ne pouvait rester sans assouvir sa quête d'aventure et de savoir, il plia bagage et prit la route vers l'est, à la recherche de l'inconnu.

Après un temps à parcourir Kandor, Daniel était devenu un artiste reconnu sous un pseudonyme qu'il a oublié. Il fut invité dans de nombreuses cours et rencontra de nombreuses femmes qui payaient pour leurs bons plaisirs, fussent-ils liés à la peinture ou non. Il était alors courant que Daniel soit chassé par les nobles d'une cours, faute d'avoir visité les chambres de ses maris cocufiés un nombre incalculable de fois ! Durant son périple vers l'est, il appris que la tribu dont il était issu vivait en Lathorie, non loin de là où il avait grandi auprès de Cédric et Ares. Nostalgique, Daniel entreprit le voyage qui le ramènerait à sa terre natale. C'est en cours de route qu'il fit la rencontre d'une jeune femme du nom de Larissa Everdeen. Belle, douce et à la peau satinée qui ne laissait indifférent aucun cœur, elle était aussi redoutable qu'une lionne et manqua d'estropier le beau Daniel dont les charmes semblaient la laisser indifférente.

Faute de mieux, les deux jeunes gens durent faire une partie du voyage ensemble jusqu'à Verithor, une petite bourgade au nord de Berill qui servait de joint entre la Lathorie et les terres de la Lande. C'est ici que la belle Larissa en apprit un peu plus sur Daniel , sa passion pour la peinture. Alors qu'au départ elle ne voyait en lui qu'un rustre bon à baiser des sangliers et chasser des catins, ou l'inverse, elle lui trouvait un "je-ne-sait-quoi" qui la faisait rougir en sa présence. Mais l'histoire tourna au vinaigre alors que le brave Daniel fut emprisonné, tout cela sur une erreur monumentale ! Il semblerait que le gouverneur de la ville eut des doutes sur ce jeune homme, qui aurait forniqué avec sa fille alors que vraisemblablement cette dernière était encore pure. Mais je n'en dirais pas autant sur les relations entre la femme du gouverneur et Daniel. En prison, jeté au cachot , Daniel dû user de toute sa ruse pour s'en sortir la veille de sa mise à mort ...














Chapitre VI : De sa vie sur les terres de la Lande à son retour aux sources.

Alors que l'on venait pour lui faire prononcer ses dernières paroles et prier ses dieux, Daniel prétexta qu'il était un guerrier de la Lande pour s'en sortir et se servit de sa relation avec Larissa pour faire avaler ce mensonge. Honteuse, Larissa n'eut d'autre choix que d'accepter cette ruse pour faire échapper de prison son compagnon de fortune. Alors que la jeune femme et le fier larron goutaient de nouveau à l'air libre, elle ne se retint pas de lui faire la morale :

- Espèce d'imbécile ! Tu n'es même pas capable de retenir tes pulsions d'animal ! Tu n'es qu'un ... qu'un ...

On aurait juré la voir pleurer, une femme si solide semblait atteinte par le préjudice que venait de lui porter Daniel, en proie au désarroi. Elle ajouta :

- Tu m'as fais mentir, tu t'es fais passer pour un soldat de notre vénérable ordre ... tu es une vraie pourriture.

- Alors je n'ai qu'à faire en sorte que ce mensonge devienne vérité

C'est ainsi que Daniel devint un guerrier de la Lande. Accompagné par Larissa et sous sa recommandation, il intégra l'ordre des guerriers de la Lande durant une demi-dizaine d'années. Tatoué à vie à même la peau, il reçu un entrainement martial qui lui permit de perfectionner encore plus ses techniques. Impressionnés par ses prouesses martiales, ses pairs ne juraient que par lui pour les combats à l'épée et la chasse. Mais Daniel était las de cette vie, Larissa était sans cesse en mission, et il n'avait toujours pas remis les pieds sur sa terre natale. Un soir particulièrement éclairé par les trois lunes, il décida de s'en aller en laissant derrière lui un simple mot pour Larissa : "Nous nous reverrons". Pour un homme extrêmement doué avec les mots, c'était bien la première fois qu'ils venaient à lui manquer.

Daniel déserta son campement et vécu en fugitif pendant quelques années. Lorsque la situation revint à son calme, il traversa les terres de la Lande avec la furtivité qui était propre à son animal totem et il réussit à atteindre son objectif : la Lathorie. C'est ainsi, guidé par son flair incroyable, qu'il retrouva la trace de ses frères. Suivant leurs pas tel un loup perdu à la recherche de sa meute, il finit par atteindre la dernière étape de son périple : le campement de la tribu de Gonëvia.


















Chapitre VII : L'accomplissement de la prophétie.


Un hiver de plusieurs mois rongeait les terres de la Lathorie. Vieux et malade, le roi Roland qui dirigeait toujours la tribu sentait la fin qui arrivait. Il le voyait dans ses songes, ce loup au pelage noir qui lui ôtait la vie de ses longues canines.
Alors que deux hommes gardaient le campement, ils demandèrent à Daniel d'arrêter sa marche pour qu'il décline son identité, une fois chose faite, l'un d'eux prit la parole :

- Mon frère, ton odeur ne me dit rien. Serais-tu de cet autre tribu qui se targue d'être plus puissante que nous dans le nord ?

- Non, je ne vois absolument pas de quoi tu parle.

Il écarquilla les yeux face à la réponse de Daniel et il sentit dans sa voix qu'il ne mentait pas. Alors il décida de m'emmener voir le chef. La bête le regardait dans les yeux. Quelque chose l'interpela dans ses prunelles d'un bleu profond. Le chef de la tribu le toisa durant de longues secondes, lui même semblait troublé par la venue de cet aventurier, comme s'il voyait un revenant. Il lui dit simplement avec une voix fébrile :

- Comment t'appelles-tu ?

- Daniel

Un nom qui ne lui semblait pas familier. Il était assis là, sur son trône de chef nordique, enveloppé dans une longue peau d'ours qui englobait un corps faible qui avait connu des jours meilleurs. Avant même que Daniel ne commence à parler pour lui demander s'il connaissait son père, un homme important d'après Cédric qui lui racontait souvent son histoire lorsqu'il était jeune, un homme pénétra dans la caverne où le chef se trouvait. Un vieil homme, à la barbe grise et aux cheveux poivre et sel. Il se mit à baragouiner :

- Le voilà ... l'enfant maudit, l'enfant de la prophétie, le dévoreur de monde ... Roderik Stark ...


- Quoi?! Que dis-tu vieux fou ?! Mon fils est pourtant bien mort !

Daniel ne comprenait pas la situation, mais de quoi voulait-il parler ? Le nom des Stark ne lui était pas étranger. Cédric lui disait souvent qu'il faisait partie de cette famille bien que Daniel n'usa jamais de ce nom par respect. Alors, dans un grand sentiment d'incompréhension, Daniel posa des yeux emplis de vacuité sur Roland Stark :

- Qui ... es-tu ?

Amer, proche de la fin et blessé, ce père à qui l'on avait retiré le fils ne savait pas quoi répondre. Devant ce silence gênant, Daniel ne pu retenir quelques larmes avant de se mettre à hurler. Puis soudain, il entendit une voix sinistre qui résonnait dans sa tête. Elle lui demandait d'exécuter ce vieillard, de prendre sa place et la couronne qui ornait sa tête pour devenir soi même le nouveau roi du nord, le roi d'une Lathorie unie sous une même bannière, une Lathorie qui pourrait écraser les humains et conquérir le monde pour en faire son fief. Sans attendre une seconde de plus, la Bête émergea de Daniel. Sous la pression de la transformation, ses vêtements se déchirèrent alors que les guerriers d'élites qui assuraient la protection du chef étaient totalement abasourdis . Une bête au pelage sombre comme les ténèbres faisait maintenant face à Roland Stark qui ne pu rien faire lorsque l'animal lui bondit au cou et se mit à le déchiqueter comme s'il ne fut qu'un pauvre cerf, un cerf malade et abattu par le temps. Il ne marmonna que quelques mots avant son trépas :

- Ton père.

Son cadavre glissa du trône, un trône qu'une mare de sang recouvrait à présent. Un effroyable silence s'empara de la salle. Les guerriers s'armèrent et se préparaient à tenir la bête en respect. Mais le loup impavide se mit à pleurer à chaudes larmes. Son pelage disparu et sa forme devint celle d'un homme, un enfant blessé qui pleurait la mort de la seule famille qui lui restait. Ne sachant pas quoi faire dans cette situation, le Voyant qui avait annoncé la venu du dévoreur de monde se dressa en dernier rempart face à cette folie ambiante :

- Je l'avais prédis ! Je savais que tout cela arriverait ! Mais vous ne m'avez pas écouté.
Des murmures s'élevaient parmi l'assistance. Il est maintenant temps de m'entendre, d'entendre la voix des divins qui parlent à travers moi ! Ils veulent que cet enfant règne sur la tribu de Gonëvia ! Ils veulent qu'il dirige la Lathorie, qu'il s'empare du Kandor, qu'il conquiert le monde entier s'il le faut ! Ils veulent que cet homme soit notre nouveau chef !

Une clameur débuta et très rapidement, les hommes et les femmes présents se mirent à scander le nom du nouveau chef de la tribu de Gonëvia : Daniel Roderik Stark.















Prologue :

Voilà quelques semaines que Daniel R.Stark dirige la tribu de Gonëvia, voilà quelques semaines que son parricide le ronge et le pousse à de terribles terreurs nocturnes. Il se demande si un jour il reverra sa tendre guerrière de la Lande, s'il pourra être à la hauteur de ce qu'attend son peuple et si il est en mesure de diriger des guerriers du nord.
Mais cela, seul l'avenir nous le dira. Le voilà fin prêt à rendre visite au chef de l'autre tribu du nord. L'hiver vient .


SECTION HRP

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Dernière édition par Daniel R.Stark le Lun 28 Mai - 17:50, édité 7 fois
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Kalyäh Taliësin
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MessageSujet: Re: Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT   Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT EmptyDim 27 Mai - 22:50

Je te souhaite la Bienvenue sur Les Lunes de Merak!!


Il y aura quelques correctifs à apporter, mais rien de bien important. Une très jolie fiche, une histoire intéressante et... assez mouvementée! Je ne m'attendais pas à un tel déroulement, mais le personnage me plait bien. Ta fiche a très peu de fautes également, c'est primordial. Alors voilà, je t'indique ici les quelques corrections:

Dans le deuxième chapitre, au début, tu dis ceci: "Les rayons du soleil illuminaient le visage radieux de cet enfant."
>Il y a deux soleils dans ce monde, il faut donc en tenir compte ^^

Dans le chapitre 4, c'est écrit ceci: "sous le seul regard de la lune." et "Et sous l'égide de cette fabuleuse lune"
>Eh bien, il y a trois Lunes dans ce monde Smile C'est écrit dans le contexte.

Dans le chapitre 5: " à la poursuite du soleil. "
>Encore une fois, deux soleils.

Chapitre 6: " Un soir où la lune était particulièrement éclairée"


Pour ma part, après ces corrections, je te valide.
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Xanth Tar'Ashaman
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MessageSujet: Re: Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT   Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT EmptyLun 28 Mai - 2:16

Quoi dire de plus? Comme toujours, Kaly a un pas d'avance sur moi et tout comme elle, j'attendrai de voir ces correctifs pour te valider.
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MessageSujet: Re: Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT   Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT EmptyLun 28 Mai - 5:43

Merci pour votre accueil !
Je viens de faire ces corrections, il va falloir que je m'en souvienne du coup des 3 lunes et des 2 soleils, ça m'a pas semblé évident quand j'écrivais l'histoire.
Ps : mon histoire est inspirée des romans picaresques où le héros est mené de bout en bout du monde et dans toutes les couches de la société par les vicissitudes de la vie
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Kalyäh Taliësin
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MessageSujet: Re: Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT   Daniel R.Stark [Finie][Terminée]MORT EmptyLun 28 Mai - 19:41

En effet, ce n'est pas facile à retenir, mais on a voulu faire de ce monde quelque chose de vraiment unique! Je te valide!
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