Présentez-vous Prénom & Nom: Aventus Delivias Visatis Sexe: Masculin Âge:  31 ans Race: Humain Groupe: Principauté humaine de Berill Rang: Général des Armées de Berill Métier: Cavalier Description physique Aventus est un homme de taille moyenne au physique svelte et à la carrure musclée par la rigueur d'un entraînement impitoyable et de multiples combats. Infiniment plus agile que puissant, il a fait du glaive son arme de prédilection, arme qu'il manie avec une dextérité hors du commun. Son corps athlétique, parfaitement proportionné, est surplombé par un visage aux traits fins et marqués. Ses yeux, d'un vert perçant, ajoutent une dimension particulièrement inquiétante au visage d'Aventus. Les individus croisant ce regard froid et aiguisé telle la lame acérée n'échappent pas au sentiment de malaise qu'il fait inévitablement naître. Certains s'accordent même à dire que, derrière ces yeux insondables, se cache la capacité de percer les secrets les plus infâmes de chaque homme, et ce d'un simple regard. Aventus connaît ces rumeurs et sait parfaitement en jouer. Pour parfaire ce côté mystérieusement ténébreux, celui-ci possède une longue chevelure plus sombre que l'ébène lui tombant sur la poitrine ainsi que dans le milieu du dos. Au niveau vestimentaire, le Général arbore la quasi totalité du temps son manteau noir, vêtement officiel inhérent à sa fonction de Commandant en Chef des Armées, paré de ses innombrables médailles pour chaque victoire héroïque remportée sur le champ de bataille. Description psychologique Impitoyable, rationnel et ambitieux. Ces trois mots désignent à merveille la personnalité du Général. Il place la discipline, l'ordre, la puissance et le pouvoir au dessus de toutes les autres valeurs, ce qui explique sa haine pour le chaos régnant actuellement au sein des principautés humaines de Merak. Dans la moindre de ses entreprises il agit avec une rigueur mécanique, une logique effrayante et une ténacité hors-norme. Selon lui, la morale et l'éthique n'ont absolument aucune place lorsqu'il s'agit d'étendre l'influence et le pouvoir de Berill. Sa loyauté ne revient qu'exclusivement à sa patrie, et tous les moyens sont bons pour la pourvoir du lustre qu'elle mérite. En outre, Aventus déteste par dessus tout l'incompétence et la médiocrité, ce qui le rend particulièrement exigeant et autoritaire envers ses subordonnés. De tempérament assez impulsif, il lui arrive parfois de s'emporter violemment envers un soldat qui s'est endormi durant le service. La perfection est son maître mot. A un niveau plus personnel, Aventus est un homme particulièrement cultivé, à l'intelligence vive et au raisonnement élaboré. Il est passionné de Lettres et d'Histoire en général, s'adonnant parfois lui même aux jouissances que peut procurer l'écriture. Lorsque ses affaires militaires lui laissent un peu de temps, il n'hésite pas à passer plusieurs heures au sein de la Grande Bibliothèque de Meniev afin de faire l'acquisition de nouvelles connaissances et parfaire ainsi son érudition. Enfin, le Général est doté d'un charisme quasi légendaire le rendant extrêmement populaire auprès de ses hommes malgrès son autoritarisme despotique et ses accès de fureur. Aventus sait parler aux foules, il sait faire vibrer les masses. C'est précisément cette capacité à transformer ses hommes en véritables machines de guerre dévouées corps et âmes à leur chef par le seul fait de sa voix grave, puissante et hypnotique, qui l'a conduit au poste qu'il occupe actuellement au sein de l'Armée. Histoire Aventus Delivias Visatis naquit au sein de la famille des Visatis, une famille aristocrate de Berill ancienne et puissante possédant un grand domaine à la frontière commune avec le Royaume de Meniev. Son père, Delivias Morteus Visatis développa considérablement durant trente ans le patrimoine pécunier de la famille grâce au commerce d'arme et de mercenaires. Delivias établit par ailleurs un réseau particulièrement important d'assassins personnels réputés dans tout le royaume de Berill et qui furent, par ailleurs, très secrètement impliqués dans l'assassinat des parents de l'actuel souverain de Berill, Mathys Henners. Ainsi la famille des Visatis atteint au fur et à mesure des décennies une puissance solidement établie et devint très respectée et crainte au sein de l'aristocratie locale. Aventus fut ainsi élevé au sein de cette famille ambitieuse pour laquelle l'accumulation de pouvoir, d'influence et de puissance était l'objectif suprême, peu importe les moyens. Il reçut très tôt une éducation militaire poussée, se faisant, ses mentors s'aperçurent de son grand potentiel et incitèrent Delivias Visatis à envoyer le garçon au sein de l'Académie d'Archenior afin qu'il y poursuive de véritables études guerrières. Ce fut chose faite, et Aventus montra rapidement au fil des années des capacités innées et un grand talent en matière de stratégie, de tactique et de combat. L’entraînement qu'il reçut à l'Académie lui permit de se forger un tempérament impitoyable en plus de son éducation au sein d'une famille qui laisse peu de place pour la faiblesse. Des années durant, il approfondit puis perfectionna sa maîtrise des armes et du combat, infligeant des défaites humiliantes à certains camarades plus âgés que lui, montrant un véritable don pour le commandement. Pendant ces années d'apprentissage à l'Académie, il découvrit avec amertume les critiques, voire les insultes, que proféraient sans cesse les étudiants des autres principautés à l'égard de Berill. Ces attaques verbales à l'encontre de sa Nation, de la part de gamins plus médiocres les uns que les autres fit naître en lui un sentiment de patriotisme exacerbé. Aventus jura qu'il vouerait sa vie à combattre pour montrer la supériorité de Berill, il serait le Bras Vengeur de son peuple, la preuve vivante des qualités incomparables des hommes de sa Principauté. A sa dix-neuvième année, Aventus rentra en Berill. Plus ambitieux que jamais et désireux de prouver aux yeux de son peuple ses capacités, il s'engagea dans l'Armée en tant que Cavalier du fait de son noble rang. Il s'illustra ensuite à l'occasion de nombreuses batailles et escarmouches, contre les diverses Principautés humaines, accumulant les victoires, faisant preuve d'un courage surprenant sur le champ de bataille et manœuvrant avec habilité. Les plus hauts gradés au sein de l'Armée ne tardèrent pas à remarquer ce talentueux cavalier à la fougue et à l'adresse au combat assez inhabituelles parmis les jeunes gens inexpérimentés. Ils décidèrent de le faire monter en grade, au grand honneur du jeune aristocrate. Il était désormais, à vingt-trois ans, Capitaine de Section de Cavalerie, poste ô combien honorable s'il en est. Cependant, Aventus dut aussitôt faire face à un type de bataille qu'il n'avait alors jamais livré, un type de bataille tout aussi violent et inhérent à sa fonction nouvelle de meneur d'hommes... Cette bataille l'opposait à ses propres troupes : il devait les exalter, les motiver, les encourager. Jusqu'alors, le jeune homme n'avait jamais véritablement pris la parole devant plus d'une dizaine de soldats, vingt au grand maximum. Ainsi l'euphorie liée à cette nouvelle promotion fit rapidement place à une certaine forme d'angoisse. Il craignait de ne pas posséder les qualités de tribun requises pour pousser les hommes à donner le meilleur d'eux mêmes et, par extension, d'être rétrogradé pour son incompétence. Le jour fatidique arriva plus vite qu'Aventus ne l'avait imaginé. Le jeune Capitaine devait livrer une bataille importante contre la Principauté de Naskapi, toutefois le nombre de ses hommes étaient nettement inférieur à celui de l'armée adverse. Au départ, il s'attendait à ce que les effectifs soient à peu près les mêmes dans les deux camps. Toutefois, une semaine et demi avant de livrer la bataille, ses éclaireurs lui avaient rapporté qu'un important contingent des Guerriers des Landes étaient venus renforcer les rangs de Naskapi au dernier moment. La nouvelle démoralisa totalement les troupes d'Aventus et il sentit que s'il ne parvenait pas à leur rendre leur combativité, la bataille tournerait réellement à l'hécatombe. Il passa plusieurs jours à élaborer une tactique lui permettant de se servir des avantages du terrain montagneux, du climat instable et de la réputation d’indiscipline des troupes de Naskapi. Il tenta de trouver un moyen de neutraliser les troupes des Landes qui étaient de loin les plus dangereuses. Pendant ce temps, les troupes patientaient anxieusement, sans réel espoir de victoire... L'heure de la bataille sonna. A l'aube, il demanda à tous ses hommes de former les rangs, monta sur son cheval et le fit trotter un instant entre eux. Il voyait les mines déconfites sur le visage de chacun de ses hommes, il sentait l'odeur de la défaite dans l'air lourd précédant la bataille. Le ciel lui même semblait les condamner en se couvrant d'un voile gris composé de nuages gorgés d'eau, menaçant d'éclater en une averse diluvienne à n'importe quel instant. Il avait travaillé sa tactique pendant plusieurs jours, celle ci était très osée mais promettait d'apporter la victoire en misant sur beaucoup de chance et... sur des soldats confiants, ce qui était loin d'être le cas. Il réalisait, à la vue de ce morne spectacle, que cette défaite signerait peut-être le glas de sa carrière. Lui qui aspirait à tant de grandeur serait peut-être refoulé dans une caserne minable pour les quarante prochaines années, ruminant cette défaite qui aura apporté le déshonneur sur son nom. A cette pensée, son sang entra en ébullition. Il se sentait possédé par une énergie nouvelle, amère, alarmante et puissante. Celle du désespoir. *Je refuse. Je refuse que ma vie s'achève dans ce foutu bourbier, ou dans une campagne miteuse si j'en réchappe. Je refuse que Berill ne garde de souvenir de moi que cette immonde bataille tournant à la défaite. La Victoire est envisageable, j'y travaille depuis plusieurs jours. J'ai seulement besoin d'être suivi, d'être...* Aventus leva alors la tête puis commença doucement à parler à ces hommes las d'attendre l'heure de l'inévitable défaite. Sa voix, d'abord timide, prit petit à petit de l'ampleur jusqu'à ce que tous prêtent l'oreille. Le jeune Capitaine utilisa toute sa rancœur, sa peur de la défaite abjecte, sa haine de l'ennemi mutant en un flot pur de parole, parfaitement ponctué. Il était parvenu à se convaincre qu'une victoire était possible, à présent il tentait de transmettre de toutes ses forces, de toute sa voix, de toute son âme sa conviction à ses hommes. Son discours dura plusieurs minutes, pendant lesquelles il ne s'arrêta pas de les haranguer de sa voix puissante, résonnant dans toute la plaine. Au départ les hommes étaient sceptiques, puis quelque chose d'imperceptible dans cette voix éveilla un phénomène étrange en eux. Cette intonation les faisait frissonner sans même qu'ils ne s'en rendent compte. Plus les soldats écoutaient le Capitaine, plus ils ouvraient les yeux, comme piqués d'une passion soudaine, d'une vigueur insoupçonnée. Aventus transpirait, il hurlait, sa voix tremblait et ses hommes ne savaient plus si le grondement perceptible au loin provenait de la gorge de leur Capitaine ou du ciel menaçant. A chaque intonation superbe, les têtes acquiesçaient, à chaque cri, les pieds frappaient, à chaque argument, des grondements virils approuvaient. Finalement, il conclut sa phrase finale sur un retentissant : « Pour la Principauté. Pour Berill ! » que les soldats répétèrent tous en cœur au moment même où le tonnerre rugit de plus belle et où la pluie se déversa de façon torrentielle sur leurs têtes. Ce jour là, les hommes d'Aventus combattirent avec une rage hors du commun, mettant en pièce les troupes ennemies, persuadés de leur propres invincibilité, convaincus de leur victoire inévitable, ridiculisant cette ennemi venu en nombre les affronter uniquement en raison de la peur que Berill inspirait. Ils savaient que le sang coulerait à flot aujourd'hui, mais ils s'étaient également jurés que ce ne serait pas le leur. Ce fut effectivement une victoire héroïque pour Aventus, la bataille ayant duré toute la journée, le soir il célébra sa victoire, non, la victoire de Berill, avec ses troupes. De retour à la Capitale, la sombre Thortan, il fut accueillit comme un véritable héros du peuple et de la Principauté. Ajoutées à son succès grandissant, les nombreuses victoires qu'il remporta ensuite durant huit ans lui permirent d'atteindre le grade suprême de Général des Armées de Berill. Accumulant les médailles et les distinctions, il fut nommé par le souverain de la Principauté, le monarque Mathys Henners, avec qui il entretenait d'étroites relations depuis plusieurs années déjà. Toutefois, tant que l'ordre n'aura pas été rétablit au profit de Berill au sein des Principautés, Aventus Delivias Visatis n'aura de cesse de se battre. Et il semblerait que le Destin offre une belle occasion d'accroître davantage la puissance du Royaume : la Principauté voisine de Meniev semble avoir perdu son Dirigeant il y a peu, plongeant la nation voisine dans un chaos certain. Cela ouvre de belles opportunités de conquêtes... Hrp Code: Validé par Arren Comment as-tu trouvé le forum? Sur Top Forum, avant hier soir ! As-tu des commentaires Le Forum est riche, bien ciselé à tous les niveaux : toutes mes félicitations.

Bienvenue sur Les Lunes de Merak!!

Une excellente fiche, j'ai adoré! Ton personnage est très bien intégré à notre monde, et tu en comprends la plupart des aspects. Le seul problème que j'ai relevé est le fait que tu parles des Nocturnes dans ta description psychologique.
> Ton personnage ne peut être passionné par l'histoire des Nocturnes car il ne les connait pas. Le peuple est encore dans l'ombre et connu de très peu de gens! Il faudra donc enlever ce passage pour plus de cohérence.

L'autre chose est que l'avatar que tu as choisi est déjà utilisé par Daniel, il faudra donc en prendre un autre.

Après ces modifications, tu pourras être validé!

Merci beaucoup ! Très bien je supprime l'élément concernant les Nocturnes : Mathys m'avait déjà souligné dans la CB le fait que je n'étais pas sensé les connaître.
Par contre concernant l'avatar, je suis face à un certain dilemme.
Je m'explique : j'hésitais entre deux avatars dont celui que j'ai actuellement, l'autre étant déjà pris par Arenadd dans la petite bannière présentant le staff à l’accueil du forum... Le problème est que l'un et l'autre correspondent exactement à ce que je désirais pour mon personnage. N'y aurait-il pas possibilité d'en garder au moins l'un d'eux ?

L'avatar aillant été changé, je te valide. Pense à générer ton parchemin d'identité et bon rp!